Je l'ai trouvé assez fabuleux .
Une splendeur dont la démesure esthétique rend particulièrement hommage à une histoire oû l'homme et la machine s'allient de façon monstrueuse,belle et auto-destructrice à la fois,un thème cruçial chez Otomo.
Ma machoire s'est décrochée à nombre d'instants,lors de la bataille en plein Londres par exemple ou lorsque la Tour Steam prend son envol,envoyant valdinguer une cohorte de locomotives....
Cette frénésie de mécanique et de vapeur,symbole d'une révolution industrielle puissante et d'un londres victorien dominateur fer de lançe d'un monde occidental fier et belliqueux ouvrent des espaces gigantesques à l'imagination et Otomo s'engouffre avec maestria.
Les personnages sont croqués avec beaucoup de justesse,de profondeur,pas vraiment de méchants ,juste des idéalistes dont les rêves se sont flétris.
Et c'est vrai dieu que ce génerique de fin est somptueux ...
C'est un vrai bijou auquel il manquerait juste peut-être la portée mystique d'un
Akira.