Après
Anchorman,
Ricky Bobby et
Frangins malgré eux (sacré palmarès), revoilà Adam McKay qui s’attaque ici au buddy movie avec
The other guys (ça sonne quand même mieux qu’un énième «
Very bad truc »).
En tête d’affiche, on retrouve son acteur fétiche (et on le comprend !), le grand, le mou, le drôle, l’unique : WILL FERRELL
Notre comique s’en donne ici à cœur joie en incarnant un petit flic de bureau (il kiffe la paperasse) riche en surprises : sa femme est une bombe atomique (Eva Mendes !), sa vie sexuelle est trépidante, il développe des applis informatiques (neckbook
![Laughing :lol:](./images/smilies/icon_lol.gif)
), …
Un Ferrell sacrément bien entouré, le générique étant copieux. Mark Wahlberg (convainquant dans un genre qu’il n’avait guère abordé jusqu’alors), Michael Keaton (décidément beaucoup trop rare
![Exclamation :!:](./images/smilies/icon_exclaim.gif)
), Ray Stevenson et Steve Coogan sont aussi de la partie.
N’oublions pas le duo The Rock / Sam L. Jackson dans un prologue qui nous montre combien McKay a parfaitement assimilé les codes de l’actioner policier too much
Au-delà de répliques qui tuent (thon versus lion !
![Mr. Green :mrgreen:](./images/smilies/icon_mrgreen.gif)
), le gros point fort de
The other guys réside, pour moi, dans une série de running gags ultra poilants :
- la bagnole de Ferrell, surtout lorsqu’elle est retrouvée après avoir été volée (des clodos y ont fait une partouze doigt dans le cul, un raton laveur y a mis bas et on y a retrouvé un vagin de biche)
- le flingue en bois («
Ils l’ont verni »)
- le passé d’étudiant / proxénète (
Pimps don’t cryyyyyy)
- Ferrell dans les bars et restaurants (j’adore quand il est réquisitionné pour chanter dans le pub
![Smile :)](./images/smilies/icon_smile.gif)
)
A l’arrivée, c’est sans doute mon Adam McKay préféré après l’indétrônable
Ron Burgundy.
P.S. : générique de fin très pertinent
![Idea :idea:](./images/smilies/icon_idea.gif)