DVDAttitude

Le Cancre a écrit :

Trop bandante !

Je me rappelle n'avoir pas trop aimé le premier volet, si ce n'est les images de chaos dans Londres.
Là, j'ai franchement adoré. Ca a été un grands moment de ciné, un bon coup de poing dans la gueule, notamment la scène d'ouverture.
Et perso, je trouve que le héros a eu raison de fuire comme il l'a fait.


Allez, un petit reproche quand même, mais vraiment histoire de chipoter.
Je l'ai trouvé un poil trop long sur la fin (à partir de la course poursuite vers le stade).
Sinon pour moi, les militaires avaient raison de vouloir dégommer tout le monde même si ça peut paraitre choquant. et bien sur dans ces moments là, ils sont toujours aussi maladroits.

C'ets vrai que quand on y réfléchi, lors de la poursuite du début, si Carlyle avait attendu sa femme, ils seraient morts tous les deux vu le sprint des infectés.

right hand of doom a écrit :C'est parce que tu es trop vieux.

je sais pas si ça viens de ça mais moi je ne trouve pas ça illisible du tout je l'ai déjà dit, c'ets comme dans "la vengeance dans la peau" c'est parfaitement adapté à l'histoire et surtout bien monté. L'espace est bien utilisé et le chaos est parfaitement présent on ressent l'angoisse des personnes attaquées et la violence des contaminés.

Je suis d'accord avec le principe et avec le but recherché. Mais ce procédé est abusivement employé aujourd'hui et trop souvent mal utilisé. ça a commencé avec Spielberg et le soldat Ryan sauf que chez lui les scènes de chaos sont encore plus immersives (mais restant parfaitement lisibles) que chez tous ceux qui ont repris ce procédé de montage ultra cut avec accélérés et tremblements. Que ce soit Michael Bay avec ses poursuites ultra cut illisibles dans rock, tony scott avec Domino. Ridley scott avec Gladiator et même scorsese avec gangs of NY.
Pour moi, la scène d'attaque dans le souterrain ets la seule scène que je n'ai pas aimé du film car gaché par cet effet "expérimental" à la noix.
Sinon, j'adore le film.

La scène du métro m'a bien fait penser au Fléau de King (mémorable passage du tunnel).

Quant à la réalisation, je dirai que le filmage de Fresnadillo dans 28 semaines plus tard passe beaucoup mieux que celui de Greengrass dans La vengeance dans la peau.

Pas forcément plus adapté au propos mais un rendu beaucoup plus lisible.