Borat - Larry Charles - 2006
Modérateur : dino VELVET
Selon 20 minutes, à trop jouer au con, le mec se serait pris un pain dans la gueule à New-York.
Pas facile tous les jours d'incarner au quotidien le personnage de Borat, un journaliste kazakh complètement fou. En promo pour son film à New York, le comédien britannique Sacha Baron Cohen a été agressé dans la rue par un passant qui n'a pas aimé une de ses blagues.
L'embrouille a commencé alors que Borat lançait une vanne avec un fort accent : « J'aime vos vêtements. Sont bien ! S'il vous plaît, peux acheter ? Je veux faire l'amour avec ! » L'homme s'est empressé de lui corriger le portrait. L'acteur a été choqué, mais n'a pas été blessé. Un ami du comédien a déclaré : « Je suppose que ce gars s'est senti agressé par quelqu'un d'instable et a frappé. Sacha a eu de la chance de ne pas avoir été battu plus sévèrement. »
Pas facile tous les jours d'incarner au quotidien le personnage de Borat, un journaliste kazakh complètement fou. En promo pour son film à New York, le comédien britannique Sacha Baron Cohen a été agressé dans la rue par un passant qui n'a pas aimé une de ses blagues.
L'embrouille a commencé alors que Borat lançait une vanne avec un fort accent : « J'aime vos vêtements. Sont bien ! S'il vous plaît, peux acheter ? Je veux faire l'amour avec ! » L'homme s'est empressé de lui corriger le portrait. L'acteur a été choqué, mais n'a pas été blessé. Un ami du comédien a déclaré : « Je suppose que ce gars s'est senti agressé par quelqu'un d'instable et a frappé. Sacha a eu de la chance de ne pas avoir été battu plus sévèrement. »
En Australie, "Borat" ironise sur les propos antisémites de Mel Gibson
Le comédien britannique Sacha Baron Cohen, qui incarne un journaliste kazakh, homophobe et antisémite dans le film comique "Borat", a ironisé sur les récents propos controversés de Mel Gibson envers les juifs, lors de la première du film à Sydney.
Jouant son personnage "Borat", Sacha Baron Cohen a déclaré à ses fans australiens qu'il voulait que son film, sous-titré dans un anglais approximatif "Leçons culturelles sur l'Amérique pour profit glorieuse nation kazakhstan", gagne l'Oscar du "Meileur film antijuif".
Mais, a-t-il ajouté, "il y a bien sûr une concurrence féroce de la part de votre Melvin Gibson".
L'acteur australien Mel Gibson, réalisateur de "La Passion du Christ", avait tenu des propos antisémites à l'encontre d'un policier après avoir été arrêté en juillet à Los Angeles pour conduite en état d'ivresse.
Cohen, dont le délirant personnage Borat raille le gouvernement kazakh ou les gitans d'Allemagne dans ce film politiquement incorrect, était à Sydney lundi soir pour la première du film.
"Je suis un inconditionnel de votre pays. J'aimerais beaucoup trouver une femme australienne... Mesdames, s'il-vous-plaît, envoyez-moi des photos, érotiques de préference", a-t-il lancé à la presse.
"Mes penchants vont plutôt vers les femmes qui ont plus de cheveux sur la tête que dans le dos et avec des dents qui poussent uniquement à l'intérieur de la bouche!"
Sacha Baron Cohen, qui est fiancé à l'actrice australienne Isla Fisher, a débarqué à la cérémonie de la première du film, accoutré en "Australien", avec des jambières de cricket au dessus de son pantalon, un kangourou dans les bras, une bière à la main et un chapeau avec des bouchons accrochés sur les bords.
Le comédien britannique Sacha Baron Cohen, qui incarne un journaliste kazakh, homophobe et antisémite dans le film comique "Borat", a ironisé sur les récents propos controversés de Mel Gibson envers les juifs, lors de la première du film à Sydney.
Jouant son personnage "Borat", Sacha Baron Cohen a déclaré à ses fans australiens qu'il voulait que son film, sous-titré dans un anglais approximatif "Leçons culturelles sur l'Amérique pour profit glorieuse nation kazakhstan", gagne l'Oscar du "Meileur film antijuif".
Mais, a-t-il ajouté, "il y a bien sûr une concurrence féroce de la part de votre Melvin Gibson".
L'acteur australien Mel Gibson, réalisateur de "La Passion du Christ", avait tenu des propos antisémites à l'encontre d'un policier après avoir été arrêté en juillet à Los Angeles pour conduite en état d'ivresse.
Cohen, dont le délirant personnage Borat raille le gouvernement kazakh ou les gitans d'Allemagne dans ce film politiquement incorrect, était à Sydney lundi soir pour la première du film.
"Je suis un inconditionnel de votre pays. J'aimerais beaucoup trouver une femme australienne... Mesdames, s'il-vous-plaît, envoyez-moi des photos, érotiques de préference", a-t-il lancé à la presse.
"Mes penchants vont plutôt vers les femmes qui ont plus de cheveux sur la tête que dans le dos et avec des dents qui poussent uniquement à l'intérieur de la bouche!"
Sacha Baron Cohen, qui est fiancé à l'actrice australienne Isla Fisher, a débarqué à la cérémonie de la première du film, accoutré en "Australien", avec des jambières de cricket au dessus de son pantalon, un kangourou dans les bras, une bière à la main et un chapeau avec des bouchons accrochés sur les bords.
Et dans la série, "Le Tour du Monde de Borat", il y a bien sur : PARIS !!!
De passage à Paris, le glorieux pseudo-reporter kazakh Borat a tenu une conférence de presse d'une grande élégance.
De passage à Paris, le glorieux pseudo-reporter kazakh Borat a tenu une conférence de presse d'une grande élégance.
- The DeathScythe
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Alors attention, c'est du lourd ! Du TRES lourd !!!
Mais qu'est-ce que c'est bon...
Une des meilleures charge (pour ne pas dire la meilleure) du "modèle américain" que j'ai vu depuis longtemps.
Tout y passe. Et c'est ça qui est bon.
Ce n'est pas un film d'une heure trente sur la malbouffe ou sur les armes... mais sur tout.
D'ailleurs, le film et son histoire ne sont qu'un prétexte. On est plus dans le documentaire.
A voir, et à revoir !
Mais qu'est-ce que c'est bon...
Une des meilleures charge (pour ne pas dire la meilleure) du "modèle américain" que j'ai vu depuis longtemps.
Tout y passe. Et c'est ça qui est bon.
Ce n'est pas un film d'une heure trente sur la malbouffe ou sur les armes... mais sur tout.
D'ailleurs, le film et son histoire ne sont qu'un prétexte. On est plus dans le documentaire.
A voir, et à revoir !
- snake_7
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Vu hier soir
Animé par une terrible compagne de pub outre-atlantique et bien presénte également en France depuis quelques mois le phénomène Borat à débarquer chez nous. Et ?
Adapte de l' humour corosif ? Ce film est pour vous C' est du fou, du très fou comme on en a pas vu depuis très longtemps. Complétement déjanté et habiter par son personnage de Borat, Sacha Baron Cohen reussi avec brio à dénoncer une Amérique puritaine. Tourné comme un documentaire, Borat s' amuse, balance et tape sur une certaine Amérique et sur les cons en général d' ailleurs.
Complétement barré mais pas dénué d' interet, il nous fait rire de bout en bout. Son politiquement incorect choquera les plus frigide et ravira les fans de la provoc' et du cinquième degrès. En grossisant les traits de son personnage, en rentrant dans la peau d' un Kazakh maladroit et peu instruit il parvient a tirer les vers du nez facilement à l' Américain moyen, racisme, homophobie, mysoginie, le portrait n' est pas glorieux mais pourrait s' appliquer dans bon nombre de pays dit "civilisé" n'es taps la France ...
Pas le film de l' année mais un humour trash qui réveille les vieilles tendances de nos sociétés
Note : 7.5/10
Animé par une terrible compagne de pub outre-atlantique et bien presénte également en France depuis quelques mois le phénomène Borat à débarquer chez nous. Et ?
Adapte de l' humour corosif ? Ce film est pour vous C' est du fou, du très fou comme on en a pas vu depuis très longtemps. Complétement déjanté et habiter par son personnage de Borat, Sacha Baron Cohen reussi avec brio à dénoncer une Amérique puritaine. Tourné comme un documentaire, Borat s' amuse, balance et tape sur une certaine Amérique et sur les cons en général d' ailleurs.
Complétement barré mais pas dénué d' interet, il nous fait rire de bout en bout. Son politiquement incorect choquera les plus frigide et ravira les fans de la provoc' et du cinquième degrès. En grossisant les traits de son personnage, en rentrant dans la peau d' un Kazakh maladroit et peu instruit il parvient a tirer les vers du nez facilement à l' Américain moyen, racisme, homophobie, mysoginie, le portrait n' est pas glorieux mais pourrait s' appliquer dans bon nombre de pays dit "civilisé" n'es taps la France ...
Pas le film de l' année mais un humour trash qui réveille les vieilles tendances de nos sociétés
Note : 7.5/10
"Le monde est un bel endroit, qui vaut la peine qu'on se batte pour lui,Je suis d'accord avec la seconde partie."
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Je viens de mater Opé frisson et pour Dahan c'est la comédie des 10 dernières années : 1h30 de méchanceté et de délire jubilatoire
Un must absolu .
Je vais le mater !
A noter qu'après Ali G et Borat ,le prochain perso du bestiaire sera une folle ,et selon Dahan qui est un fana de l'émission anglaise d'origine ,c'est le plus gratiné .
ça promet .
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A noter qu'après Ali G et Borat ,le prochain perso du bestiaire sera une folle ,et selon Dahan qui est un fana de l'émission anglaise d'origine ,c'est le plus gratiné .
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Vu il ya qqs jours donc,
Le film le plus drôle de l'année selon le magazine Première n'est en fait qu'une bouffonnerie d'1h30 au souffle court. Certes, Sacha Baron Cohen habite totalement son personnage mais de là à en faire un tel buzz ? Plus proche de Jackass et Michael Youn que de Michael Moore, Borat est un condensé d'âneries censé charger le modèle américain. Un pseudo journaliste kazakh qui traverse les Etats-Unis d'Est en Ouest pour rencontrer Pamela Anderson, voilà la trame principale de ce pseudo-film. Sur son chemin, ce con de Borat (misogyne, raciste, antisémite...) croise d'autres cons (jeunes et vieux américains moyens) et les différentes situations sont censés révéler les préjugés de la société américaine. Entre réalité et fiction, le mélange des genres est parfois épique mais hélas peu instructif. Borat fait caca en plein Wall Street, Borat s'attaque à l'hymne américain, Borat se bat tout nu dans les couloirs d'un hôtel, bref les dix commandements à la mode kazakh...
Ah c'est sûr, les branleurs du fond de la salle ont bien rigoler, pas moi. Pas une question de cinquième degré, ce n'est juste pas drôle. Un ours dans une caravane, une poule dans une valise, un gros tout nu et des vrais américains tout autour, je vois pas ce qu'il y'a de corrosif, subversif, trash et hilarant. Evidemment, Sacha Baron Cohen brave tout les interdits et joue la provoc' à 200% mais je continue à croire que la connerie amène la connerie. De ce fait, la pantalonnade consterne plus qu'elle ne décape et ne nous apprend rien de plus que ce que l'on ne savait déjà. Hormis les dix premières minutes quand Borat nous présente son Kazakhstan et le passage où sont réunis les pentecôtistes, on ne peut pas dire que la comédie soit menée tambour battant. Il ya en effet un énorme fossé entre le personnage interprété par Sacha Baron Cohen (energique, instinctif) et le montage (lent, laborieux et sans véritable rythme). En outre, j'en viens aussi à me demander si Borat n'aurait pas mieux fait de rester là où il était, c'est à dire à la télévision. Autre problème, Borat n'est plus un personnage de television, ni même un film mais un pur produit marketing, quelque chose d'insidieux qui a contaminé l'occident sans cri égard. Une vaste supercherie qui dans quelques mois ramassera d'autres pépètes pour la sortie du dvd (coffret incluant des raquettes de ping-pong, une fausse moustache, le costard et un making-of commercial de cinq minutes). En même temps, il va bien falloir payer les différents procès collant au cul de la production.
Le film le plus drôle de l'année selon le magazine Première n'est en fait qu'une bouffonnerie d'1h30 au souffle court. Certes, Sacha Baron Cohen habite totalement son personnage mais de là à en faire un tel buzz ? Plus proche de Jackass et Michael Youn que de Michael Moore, Borat est un condensé d'âneries censé charger le modèle américain. Un pseudo journaliste kazakh qui traverse les Etats-Unis d'Est en Ouest pour rencontrer Pamela Anderson, voilà la trame principale de ce pseudo-film. Sur son chemin, ce con de Borat (misogyne, raciste, antisémite...) croise d'autres cons (jeunes et vieux américains moyens) et les différentes situations sont censés révéler les préjugés de la société américaine. Entre réalité et fiction, le mélange des genres est parfois épique mais hélas peu instructif. Borat fait caca en plein Wall Street, Borat s'attaque à l'hymne américain, Borat se bat tout nu dans les couloirs d'un hôtel, bref les dix commandements à la mode kazakh...
Ah c'est sûr, les branleurs du fond de la salle ont bien rigoler, pas moi. Pas une question de cinquième degré, ce n'est juste pas drôle. Un ours dans une caravane, une poule dans une valise, un gros tout nu et des vrais américains tout autour, je vois pas ce qu'il y'a de corrosif, subversif, trash et hilarant. Evidemment, Sacha Baron Cohen brave tout les interdits et joue la provoc' à 200% mais je continue à croire que la connerie amène la connerie. De ce fait, la pantalonnade consterne plus qu'elle ne décape et ne nous apprend rien de plus que ce que l'on ne savait déjà. Hormis les dix premières minutes quand Borat nous présente son Kazakhstan et le passage où sont réunis les pentecôtistes, on ne peut pas dire que la comédie soit menée tambour battant. Il ya en effet un énorme fossé entre le personnage interprété par Sacha Baron Cohen (energique, instinctif) et le montage (lent, laborieux et sans véritable rythme). En outre, j'en viens aussi à me demander si Borat n'aurait pas mieux fait de rester là où il était, c'est à dire à la télévision. Autre problème, Borat n'est plus un personnage de television, ni même un film mais un pur produit marketing, quelque chose d'insidieux qui a contaminé l'occident sans cri égard. Une vaste supercherie qui dans quelques mois ramassera d'autres pépètes pour la sortie du dvd (coffret incluant des raquettes de ping-pong, une fausse moustache, le costard et un making-of commercial de cinq minutes). En même temps, il va bien falloir payer les différents procès collant au cul de la production.
Ah, je dois etre un "branleur du fond de la salle".Jack Sparrow a écrit :Ah c'est sûr, les branleurs du fond de la salle ont bien rigoler, pas moi.
Aïe ! Si maintenant Michael Youn devient une référence en matière pipi-caca, ça craint.Martin K a écrit :Sinon, on m'avait proposé d'aller le voir, mais je crois que je vais sérieusement y réfléchir après une critique comme celle-là. Si ça ressemble à du Michael Youn... au secours !
re-
Que tu n'as pas aimé Jack, je le conçois et l'admets tout à fait.
Mais pour ma part, Cohen veut juste "démolir" quelques clichés américains. Et ça passe par un personnage étranger à qui on pardonne tout et avec qui on est naturel parceque justement étranger.
En aucun cas, il ne s'intéresse à lui comme le ferait un Youn ou un Jackass.