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Dark Shadows - Tim Burton - 200?
Posté : 03.06.2008 - 18:57
par Pp79
Infinitum-Nihil, la maison de production de Johnny Depp travaille actuellement sur une adaptation de Dark shadows, une série fantastique des années 60. 1225 épisodes furent tournés entre 1966 et 1971. La série, basée sur l’ambiance plutôt que sur les effets spéciaux, faisait intervenir tout le bestiaire des monstres classiques : vampires, sorcières, loups-garous, fantômes et autres zombies.
Tim Burton va mettre en scène cette adaptation, rédigée par le scénariste John August. La participation, très probable, de Johnny Depp dans le rôle de Barnabus Collins n’a pas encore été confirmée.
Source : ? via EL
Posté : 03.06.2008 - 19:03
par Martin K
Oh ? Un film de Tim Burton avec Johnny Depp ? Sans déconner ???
Plus sérieusement, j'adore certains des films de ce duo, mais j'ai quand même pas été très attiré par les derniers en date...
On verra !
Posté : 04.06.2008 - 01:53
par Le Cancre
Posté : 16.06.2008 - 09:45
par dino VELVET
C'est l'ancêtre de X-files je crois ...
Posté : 16.06.2008 - 10:32
par creepers
Il me fait plus trop bander moi Burton...
Posté : 16.06.2008 - 11:16
par Wesley_Windam_Price
c'est rassurant pour toi

Posté : 16.06.2008 - 15:43
par peter wonkley
il me fait toujours bander donc j'y serai
Re: Dark Shadows - Tim Burton - 200?
Posté : 20.06.2013 - 20:01
par dino VELVET
UUUUUUUUUUUUUUUUP
Supérieur au honteux
Alice au pays des merveilles mais moyen
Un curieux objet.
Kitsch (volontairement ?), nawak (le concert d’Alice Cooper, la scène de sexe débile).
Ça part gaiement dans tous les sens (sitcom, vaudeville, comédie, horreur) avec un côté douzième degré.
Au-delà du côté clairement bordélique (que ce soit voulu ou non, c’est too much !), j’ai aussi eu du mal avec le rythme (progression narrative mal gérée) et le caractère impersonnel de la chose (ce pourrait être un film de Burton … ou de n’importe qui)
A l’arrivée, je garderai surtout les dialogues désuets de Barnabas, des répliques qui nous valent quelques bons petits moments de poilade (le premier échange avec Carolyn, la scène avec les hippies)
Un demi-échec pour le père Burton qui, heureusement, allait redresser la barre avec son film suivant (
Frankenweenie).