Ma semaine de visonnages No 1
Posté : 18.10.2002 - 15:08
Au programmes
Les parapluies de cherbourg
un film chanté et pas en chanson. au bout de 15 minutes c'est un peu lassant mais resté jusqu'au bout les 5 dernières minutes sont génial et emouvantes ça rachetent le reste. (enfin ça a eu la palme d'or en 1964 ce film)
Los olvidados - Luis Bunuel-
Film de 1950 de Bunuel lors de son escapade au Mexique.
C'est sur la pauvreté, mais c'est autre chose avant tout un film sur la vengeance, sur les poules (je plaisante mais quand même) et sur un vieil aveugle pourri donc pas de pathos içi. Certainement un des chefs d'oeuvre de Bunel.
Le cuirassé Potemkine -Eisenstein-
Un monument du cinema soviétique c'est sur.
Surtout du au montage fort réussi, l'episode des escaliers superbe même si trop long on dirait qu'ils descendent des milliers de marche mais la fin n'est pas vraiment du même niveau et les symbales finales sont digne des ricains.
Halloween - Carpenter-
hé oui c'etait au programme de mes cours
donc j'ai passé mon tour (dejà vu)
Chantage (Blackmail) -Hitchcock- (1929)
Film de la periode anglaise et premier film parlant d'Hitch. (1929). Au début on croirait du muet (musique enervante et monotone) puis ça s'emballe: pleins de dialogue, un meurtre. On suit sans grtand intérêt et la fin tente de nous reveiller par un indice à la Hitch. mais ça peine et surtout ça sera mieux utiliser avec l'experience par notre Alfred préféré.
Playtime J.Tati
Je l'ai loupé mais ce sera pour la semaine prochaine.
L'heure des brasiers Fernano Solanas (1969)
après un post générique fabuleux: musique captivante, montage important, on dirait presque une bande annonce d'un gros film américain avec les titres qui défilent nerveusement. D'ailleurs le texte annonce d'emblée que ce documentaire prend directement des partis pris. On nous raconte l'histoire de l'Argentine depuis sa Liberation avec un melange de documents d'archives et de temoignages. On nous evoque la pauvreté du peuple, du néo colonialisme dont on pointe les americains, jusqu'au néo racisme interne à l'Argentine, le réalisateur insiste sur l'opposition, le déquilibre entre pays pauvre et pays exploités par eux (1 dollard est donné comme aide par les americains mais ils en prennent 4 en café, or etc...). Un effort de montage a été fait comme la superposition tel dans le lointain Potemkine de l'abbatage choc de vaches, moutons etc... mise en parallèle avec les stars de l'Amerique, le luxe occidental ...
Etant donné que le film dure plus de 220 minutes nous n'avons pas tout vu.
http://french.imdb.com/Title?0063086
Films de Lumière et Méliès entre 1895 et plus de 1900.
A la fois opposés (documentaire contre fantastique et féerie).
Mais toujours aussi subjugant, on voit ce célèbre train arriver en gare (effrayant pour l'epoque), on voit aussi chez Méliès dejà les couleurs grace à la colorisation à la main.
DVD Films de Méliès
Naissance d'une Nation D.W. Griffith
Un extrait.
Certes celui qui a apporté au cinéma une grammaire qui lui manqué (travelling, gros plan, raccords, ...) mais dont l'idéologie sur ce film surtout qui porte en triomphe un certain Ku Klux Klan est réfutable car il suffit de voir comment les noirs sont présentés (sauf que qui se taisent et restent à leur place bien sur).
L'agent secret (Sabotage) Hitchcock (1936)
extrait
notamment d'une scène qui avait fait grincé des dents le spectateur dont Hitchcock reconnait ensuite l'erreur. C'est celle de l'explosion trop préparé d'un bus avec un enfant et un chien (oui c'est important) à l'intérieur.
Anna qu'est ce que t'attends (1906)
petit morceau de film en chanson (sorte de clip presque). C'est le plus marrant.
http://french.imdb.com/Title?0262231
Reprise Hervé Leroux
Extrait
27 ans après un cineaste tente de trouver une ouvrière de l'usine Wonder de Juin 1968.
De Hollywood à Tamanrasset Mahmoud Zemmouri (1991)
Extrait du début.
Coup de coeur cf içi
Z de Costa Gavras (1969)
Extrait de la fin.
Sur fond de politique, une mise en musique parfaite. Sur un ton à la fois comique. Du grand Costa gavras surtout que c'est l'un des seuls DVD à être sorti. Je me répète mais je trouve ça incroyable.
Les parapluies de cherbourg
un film chanté et pas en chanson. au bout de 15 minutes c'est un peu lassant mais resté jusqu'au bout les 5 dernières minutes sont génial et emouvantes ça rachetent le reste. (enfin ça a eu la palme d'or en 1964 ce film)
Los olvidados - Luis Bunuel-
Film de 1950 de Bunuel lors de son escapade au Mexique.
C'est sur la pauvreté, mais c'est autre chose avant tout un film sur la vengeance, sur les poules (je plaisante mais quand même) et sur un vieil aveugle pourri donc pas de pathos içi. Certainement un des chefs d'oeuvre de Bunel.
Le cuirassé Potemkine -Eisenstein-
Un monument du cinema soviétique c'est sur.
Surtout du au montage fort réussi, l'episode des escaliers superbe même si trop long on dirait qu'ils descendent des milliers de marche mais la fin n'est pas vraiment du même niveau et les symbales finales sont digne des ricains.
Halloween - Carpenter-
hé oui c'etait au programme de mes cours
donc j'ai passé mon tour (dejà vu)
Chantage (Blackmail) -Hitchcock- (1929)
Film de la periode anglaise et premier film parlant d'Hitch. (1929). Au début on croirait du muet (musique enervante et monotone) puis ça s'emballe: pleins de dialogue, un meurtre. On suit sans grtand intérêt et la fin tente de nous reveiller par un indice à la Hitch. mais ça peine et surtout ça sera mieux utiliser avec l'experience par notre Alfred préféré.
Playtime J.Tati
Je l'ai loupé mais ce sera pour la semaine prochaine.
L'heure des brasiers Fernano Solanas (1969)
après un post générique fabuleux: musique captivante, montage important, on dirait presque une bande annonce d'un gros film américain avec les titres qui défilent nerveusement. D'ailleurs le texte annonce d'emblée que ce documentaire prend directement des partis pris. On nous raconte l'histoire de l'Argentine depuis sa Liberation avec un melange de documents d'archives et de temoignages. On nous evoque la pauvreté du peuple, du néo colonialisme dont on pointe les americains, jusqu'au néo racisme interne à l'Argentine, le réalisateur insiste sur l'opposition, le déquilibre entre pays pauvre et pays exploités par eux (1 dollard est donné comme aide par les americains mais ils en prennent 4 en café, or etc...). Un effort de montage a été fait comme la superposition tel dans le lointain Potemkine de l'abbatage choc de vaches, moutons etc... mise en parallèle avec les stars de l'Amerique, le luxe occidental ...
Etant donné que le film dure plus de 220 minutes nous n'avons pas tout vu.
http://french.imdb.com/Title?0063086
Films de Lumière et Méliès entre 1895 et plus de 1900.
A la fois opposés (documentaire contre fantastique et féerie).
Mais toujours aussi subjugant, on voit ce célèbre train arriver en gare (effrayant pour l'epoque), on voit aussi chez Méliès dejà les couleurs grace à la colorisation à la main.
DVD Films de Méliès
Naissance d'une Nation D.W. Griffith
Un extrait.
Certes celui qui a apporté au cinéma une grammaire qui lui manqué (travelling, gros plan, raccords, ...) mais dont l'idéologie sur ce film surtout qui porte en triomphe un certain Ku Klux Klan est réfutable car il suffit de voir comment les noirs sont présentés (sauf que qui se taisent et restent à leur place bien sur).
L'agent secret (Sabotage) Hitchcock (1936)
extrait
notamment d'une scène qui avait fait grincé des dents le spectateur dont Hitchcock reconnait ensuite l'erreur. C'est celle de l'explosion trop préparé d'un bus avec un enfant et un chien (oui c'est important) à l'intérieur.
Anna qu'est ce que t'attends (1906)
petit morceau de film en chanson (sorte de clip presque). C'est le plus marrant.
http://french.imdb.com/Title?0262231
Reprise Hervé Leroux
Extrait
27 ans après un cineaste tente de trouver une ouvrière de l'usine Wonder de Juin 1968.
De Hollywood à Tamanrasset Mahmoud Zemmouri (1991)
Extrait du début.
Coup de coeur cf içi
Z de Costa Gavras (1969)
Extrait de la fin.
Sur fond de politique, une mise en musique parfaite. Sur un ton à la fois comique. Du grand Costa gavras surtout que c'est l'un des seuls DVD à être sorti. Je me répète mais je trouve ça incroyable.
