TANGUY ET LAVERDURE, nouveaux héros de BD au cinéma
Les deux héros de la BD Tanguy et Laverdure pilotes de chasse crée par Michel Carlier et Albert Uderzo il y a 40 ans vont renaître à l'écran. Cette adaptation intitulée LES CHEVALIERS DU CIEL sera dirigée par Gérard Pirès, réalisateur de TAXI sur un scénario original de Gilles Malançon, collaborateur de Luc Besson sur MICHEL VAILLANT. Un long-métrage adapté de la BD de Jean Graton qui sortira sur les écrans en novembre 2003.
Le tournage est prévu dès le premier semestre 2004 à Dijon et à Djibouti où se trouve une base aérienne française qui pourra acceuillir le tournage. C'est Outsider Productions et Mandarin Films qui produiront le film pour un budget compris entre 15 et 20 millions d'euros.
Au rayon adaptation BD , plusieurs projets verront le jour cette année notamment MURAYA, L'EXPERIENCE SECRETE de Jan Kounen avec Vincent Cassel, LA MARQUE JAUNE d'Edgar Jacobs sur les aventures de Blake et Mortimer et L'AVENTURIER de Christophe Gans d'après les aventures de Bob Morane d'Henri Vernes.
Les Chevaliers du ciel - Gérard Pirès - 2005
Modérateur : dino VELVET
-
mercury1er
- Hollywood succes
- Messages : 6415
- Enregistré le : 15.10.2002 - 07:40
- Localisation : De la venise du nord de la France
- Contact :
« Les Chevaliers du ciel », ça promet !
« Les Chevaliers du ciel », ça promet !
DU CHAUD AU FROID. Après avoir séjourné à Djibouti, sur la base française qui surveille l'océan Indien, Benoît Magimel et Clovis Cornillac sont de retour à Paris, à l'Ecole militaire, où la température est tout autre... Dans la salle des gardes, les deux acteurs poursuivent actuellement le tournage des « Chevaliers du ciel », de Gérard Pirès, dans lequel ils jouent deux pilotes de chasse. Le scénario écrit par Gilles Malençon n'a plus rien à voir avec la célèbre série télévisée des années soixante, celle de Tanguy (Jacques Santi) et Laverdure (Christian Morin).
D'ailleurs, les noms ont changé. Benoît Magimel, moustachu, interprète le capitaine Michel Navarre. Clovis Cornillac est le capitaine Sébastien Vallois. Confortablement installé dans sa loge, celui-ci confie : « Il n'y a pas beaucoup de films de ce genre en France et peu de réalisateurs capables de les tourner. Après quatre mois de tournage avec Gérard Pirès, je peux vous assurer qu'il en fait partie. »
« Sans la participation de l'armée de l'air, rien n'aurait été possible »
Et d'ajouter avec amusement : « Le jour où j'ai dit oui aux Chevaliers, j'ai été très surpris de voir à quel point être pilote de chasse pouvait être un énorme fantasme pour beaucoup de gens. Moi, je n'ai jamais eu ce délire. » « Il y a quelque chose de fascinant avec les avions, confirme Benoît Magimel. C'est magique et mystérieux de les voir décoller, voler et faire des exercices incroyables. »
Gérard Pirès lui-même ne cache pas son bonheur de diriger les deux jeunes comédiens. « Le film est l'occasion de travailler avec de vrais acteurs et de tourner des scènes d'action très spectaculaires avec les avions », dit le réalisateur et pilote expérimenté.
Avec Eric et Nicolas Altmayer, Laurent Brochand produit « les Chevaliers du ciel » pour un budget de 20 M€. Il insiste sur le fait que « sans la participation de l'armée de l'air, rien n'aurait été possible. Dès le départ, Stéphane Garcia, un pilote de chasse, nous a aidés - avec Gilles Malençon - à rédiger une histoire, qui, en terme d'actions aériennes, puisse être parfaitement crédible. C'est une aventure humaine et technique extraordinaire. On sera bien au-delà de Top Gun. »
Deux semaines encore pour « Les Chevaliers du ciel », et les deux acteurs partiront très vite sur d'autres plateaux.
Début janvier, Benoît Magimel rejoindra Nicole Garcia qui réalisera « Selon Charlie » avec Benoît Poelvoorde, Vincent Lindon et Jean-Pierre Bacri.
De son côté, Clovis Cornillac ira en montagne, avec le metteur en scène Karim Dridi, pour « Gris blanc » au côté de Simon Abkarian, avant d'enchaîner sur « Hypercondriaque », la nouvelle comédie de Michel Munz et Gérard Bitton, les réalisateurs de « Ah ! si j'étais riche ».
Benoît Magimel (à gauche) et Clovis Cornillac incarnent les héros des nouveaux « Chevaliers du ciel », un film inspiré de la série des années soixante.
Le tournage est presque achevé.
DU CHAUD AU FROID. Après avoir séjourné à Djibouti, sur la base française qui surveille l'océan Indien, Benoît Magimel et Clovis Cornillac sont de retour à Paris, à l'Ecole militaire, où la température est tout autre... Dans la salle des gardes, les deux acteurs poursuivent actuellement le tournage des « Chevaliers du ciel », de Gérard Pirès, dans lequel ils jouent deux pilotes de chasse. Le scénario écrit par Gilles Malençon n'a plus rien à voir avec la célèbre série télévisée des années soixante, celle de Tanguy (Jacques Santi) et Laverdure (Christian Morin).
D'ailleurs, les noms ont changé. Benoît Magimel, moustachu, interprète le capitaine Michel Navarre. Clovis Cornillac est le capitaine Sébastien Vallois. Confortablement installé dans sa loge, celui-ci confie : « Il n'y a pas beaucoup de films de ce genre en France et peu de réalisateurs capables de les tourner. Après quatre mois de tournage avec Gérard Pirès, je peux vous assurer qu'il en fait partie. »
« Sans la participation de l'armée de l'air, rien n'aurait été possible »
Et d'ajouter avec amusement : « Le jour où j'ai dit oui aux Chevaliers, j'ai été très surpris de voir à quel point être pilote de chasse pouvait être un énorme fantasme pour beaucoup de gens. Moi, je n'ai jamais eu ce délire. » « Il y a quelque chose de fascinant avec les avions, confirme Benoît Magimel. C'est magique et mystérieux de les voir décoller, voler et faire des exercices incroyables. »
Gérard Pirès lui-même ne cache pas son bonheur de diriger les deux jeunes comédiens. « Le film est l'occasion de travailler avec de vrais acteurs et de tourner des scènes d'action très spectaculaires avec les avions », dit le réalisateur et pilote expérimenté.
Avec Eric et Nicolas Altmayer, Laurent Brochand produit « les Chevaliers du ciel » pour un budget de 20 M€. Il insiste sur le fait que « sans la participation de l'armée de l'air, rien n'aurait été possible. Dès le départ, Stéphane Garcia, un pilote de chasse, nous a aidés - avec Gilles Malençon - à rédiger une histoire, qui, en terme d'actions aériennes, puisse être parfaitement crédible. C'est une aventure humaine et technique extraordinaire. On sera bien au-delà de Top Gun. »
Deux semaines encore pour « Les Chevaliers du ciel », et les deux acteurs partiront très vite sur d'autres plateaux.
Début janvier, Benoît Magimel rejoindra Nicole Garcia qui réalisera « Selon Charlie » avec Benoît Poelvoorde, Vincent Lindon et Jean-Pierre Bacri.
De son côté, Clovis Cornillac ira en montagne, avec le metteur en scène Karim Dridi, pour « Gris blanc » au côté de Simon Abkarian, avant d'enchaîner sur « Hypercondriaque », la nouvelle comédie de Michel Munz et Gérard Bitton, les réalisateurs de « Ah ! si j'étais riche ».
Benoît Magimel (à gauche) et Clovis Cornillac incarnent les héros des nouveaux « Chevaliers du ciel », un film inspiré de la série des années soixante.
Le tournage est presque achevé.
-
Zorg
- Tycoon
- Messages : 11410
- Enregistré le : 17.07.2003 - 14:45
- Localisation : Paris-sur-Mer, sa plage, ses galets...
- Contact :
Je l'ai vu l'autre jour lors d'une soirée "navions" (Flight Plan suivi des Chevaliers du Ciel), et le film est largement à la hauteur de sa réputation de grosse bousasse. 
L'histoire ne rime à rien (mélangez Top Gun, The Rock, un sous Jack Ryan et un autre film du meme tonneau), les acteurs jouent comme des patates (Geraldine Pailhas en tête qui emporte haut la main la palme de l'endive bouillie de l'année, mais Philippe Torreton n'est pas mal non plus), C filmé et monté avec les pieds (ah la scene de strip tease en montage alterné avec un briefing dans un bunker, ca C avoir le sens du rythme), les dialogues ont été tirés de blagues Carambar, bref C un grand ratage en bonne et due forme.
Alors certes les images aériennes sont splendides, y'a aucune image de synthese, mais y'a autant de rythme que dans un épisode de Derrick.
En fait, le film m'a fait sérieusement réévaler Furtif et Top Gun, que j'ai revu dimanche soir pour me rafrachir la mémoire. Bon, entendons nous bien, le film culte de Tony Scott restera comme un moment d'une nullité absolue, mais curieusement, Les chevaliers du ciel ne lui arrive pas à la cheville dans ce domaine.
Au moins dant Top Gun, y'a un style, qui ne rime à rien de concret, mais y'a un style. Y'a des acteurs, un semblant d'histoire, une musique culte, des persos auxuquels s'attacher et s'identifier. Dans Les chevaliers du ciel C tres simple, y'a rien.
Seul moment que j'ai trouvé rigolo, le passage du mur du son, mais sinon, CT uuuuuultra chiaaaaant.
En fait, C le genre de film durant lequel une connivence commence à se développer entre les spectateurs de la salle tellement C mauvais. Les commentaires fusent, on passe le temps comme on peut durant le film, bref on s'occupe et on se serre les coudes dans l'adversité.
J'espere que le film fera un four, ca nous épargnera la suite à qui on a ouvert un boulevard à la fin du film.
L'histoire ne rime à rien (mélangez Top Gun, The Rock, un sous Jack Ryan et un autre film du meme tonneau), les acteurs jouent comme des patates (Geraldine Pailhas en tête qui emporte haut la main la palme de l'endive bouillie de l'année, mais Philippe Torreton n'est pas mal non plus), C filmé et monté avec les pieds (ah la scene de strip tease en montage alterné avec un briefing dans un bunker, ca C avoir le sens du rythme), les dialogues ont été tirés de blagues Carambar, bref C un grand ratage en bonne et due forme.
Alors certes les images aériennes sont splendides, y'a aucune image de synthese, mais y'a autant de rythme que dans un épisode de Derrick.
En fait, le film m'a fait sérieusement réévaler Furtif et Top Gun, que j'ai revu dimanche soir pour me rafrachir la mémoire. Bon, entendons nous bien, le film culte de Tony Scott restera comme un moment d'une nullité absolue, mais curieusement, Les chevaliers du ciel ne lui arrive pas à la cheville dans ce domaine.
Au moins dant Top Gun, y'a un style, qui ne rime à rien de concret, mais y'a un style. Y'a des acteurs, un semblant d'histoire, une musique culte, des persos auxuquels s'attacher et s'identifier. Dans Les chevaliers du ciel C tres simple, y'a rien.
Seul moment que j'ai trouvé rigolo, le passage du mur du son, mais sinon, CT uuuuuultra chiaaaaant.
En fait, C le genre de film durant lequel une connivence commence à se développer entre les spectateurs de la salle tellement C mauvais. Les commentaires fusent, on passe le temps comme on peut durant le film, bref on s'occupe et on se serre les coudes dans l'adversité.
J'espere que le film fera un four, ca nous épargnera la suite à qui on a ouvert un boulevard à la fin du film.
-
Jack Sparrow
- Golden Globe
- Messages : 1186
- Enregistré le : 30.11.2003 - 18:39
- Contact :
-
Jack Sparrow
- Golden Globe
- Messages : 1186
- Enregistré le : 30.11.2003 - 18:39
- Contact :
Et Creamy me souffle dans l'oreillette qu'il ne faut pas critiquer le camembert non plus.snake_7 a écrit :POPOPOPJack Sparrow a écrit :M'interesse pas ce film... Top gun sauce camenbert
ON NE CRITIQUE PAS TOP GUN
Surtout si c'est un camembert-blob... (private joke)
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu) 