Palme d'or (rétro)

[NICOLAS mag 2]

Je met un petit mot sur ceux que j'ai dejà vu



Elephant (2003) :arrow: oubliez tout jugement et vivez une expérience à la fois belle et tragique.
Pianist, The (2002) l'apogée de l'homme Roman Polanski comme fut La liste de schindler pour Sipelberg.
La chambre du fils (2001) un des plus beau sur le thème de la perte d'un enfant... loin d'être un mélo (comme certains le disent)
Dancer in the Dark (2000) une critique unanime pour recevoir la palme et puis de gros coup de batons svt injuste. Une dernière demi heure insoutenable pour moi.
Rosetta (1999) :arrow: touchant au naturel et sans artifice
Mia aioniotita kai mia mera (1998)
Ta'm e guilass (1997)
Unagi (1997)
Secrets & Lies (1996) :arrow: ça fait longtemps mais j'en garde un souvenir à la fois bon mais un peu réservé (à cause peut être d'un ton un peut trop autère)
Underground (1995)
Pulp Fiction (1994) c'etait y a 10 ans et garde tjrs son punch
Ba wang bie ji (1993)
Piano, The (1993) :arrow: 1ère palme d'or à une femme amplement merité.
Goda viljan, Den (1992)
Barton Fink (1991) :arrow: j'le vois bientot
Wild at Heart (1990) :arrow: du Lynch c'est franchement grandiose, baroque, même si j'pense pas que c son meilleur
Sex, Lies, and Videotape (1989) :arrow: 1er film, assez expérimental donc, son film le plus intéressant depuis
Pelle erobreren (1987) :arrow: jamais vu entièrement
Sous le soleil de Satan (1987)
Mission, The (1986)
Otac na sluzbenom putu (1985)
Paris, Texas (1984)
Narayama bushiko (1982)
Missing (1982) fan de costa gavras, j'adore donc Missing et j'attends tjrs le dvd
Yol (1982)
L'homme de fer (1981)
All That Jazz (1979)
Kagemusha (1980)
Apocalypse Now (1979) même si les versions se sont succédées il reste d'une esthétique encore aujourd'hui surprenante.
Le tambour (1979)
Albero degli zoccoli, L' (1978)
Padre padrone (1977)
Taxi Driver (1976) ça fait longtemps, de niro faisait il dejà un peu trop son show, et la fin je l'aime pas trop.
Chronique des années de braise (1975)
Conversation, The (1974)
Hireling, The (1973)
Scarecrow (1973)
Caso Mattei, Il (1972)
La classe ouvrière va au paradis (1971)
Le messager (1970)
MASH (1970)
If.... (1968)
Blowup (1966)
Signore & signori (1965)
Un homme et une femme (1966)
Knack, The (1965)
Parapluies de Cherbourg, Les (1964) :arrow: fatiguant d'entendre chanter tout du long, reste les 5 dernières minutes qui meritent l'appelation de chef d'oeuvre... le reste pffff...
Le guépard (1963)
Pagador de Promessas, O (1962)
Une aussi longue absence (1961)
Viridiana (1961) :arrow: le moins bon bunuel que j'ai pu voir même s'il y a tjrs chez lui très truc très intéressant
Dolce vita, La (1960) :arrow: un peu long et à tiroirs sinon RAS
Orfeu Negro (1959)
Letjat zhuravli (1957)
Friendly Persuasion (1956)
Monde du silence, Le (1956)
Marty (1955)
La porte de l'enfer (1953)
Salaire de la peur, Le (1953)
Due soldi di speranza (1952)
Tragedy of Othello: The Moor of Venice, The (1952)
Fröken Julie (1951)
Miracolo a Milano (1951)
Third Man, The (1949)



Pour finir le prochain sera pour moi 2046 de wong kar wai

[wang85]

Je me rends compte que je n'ai pas vu beaucoup de palmes d'or juste ceux-là :

Dancer in the Dark (2000)
Pulp Fiction (1994)
Sex, Lies, and Videotape (1989) , vu il y a très longtemps
Apocalypse Now (1979)
MASH (1970)
Viridiana (1961)

j'ai du boulot pour voir les autres

[karras]

28 dans mas collec et surement bientot 30 avec Elephant et Blow up

2002: "Le Pianiste", de Roman Polanski (Pologne)
2001: "La Chambre du fils", de Nanni Moretti (Italie)
2000: "Dancer in the Dark", de Lars von Trier (Danemark)
1997: "L’Anguille", de Shohei Imamura (Japon)
1996: "Secrets et mensonges", de Mike Leigh (GB)
1994: "Pulp Fiction", de Quentin Tarantino (USA)
1993: "La Leçon de piano", de Jane Campion (NouvelleZélande)
1991: "Barton Fink", de Joel et Ethan Coen (USA)
1990: "Sailor et Lula", de David Lynch (USA)
1989: "Sexe, mensonges et vidéo", de Steven Soderbergh (USA)
1987: "Sous le soleil de Satan", de Maurice Pialat (France)
1986: "Mission", de Roland Joffé (GB)
1984: "Paris, Texas", de Wim Wenders (RFA)
1980: "Kagemusha", d’Akira Kurosawa (Japon) et "All That Jazz", de Bob Fosse (USA)
1979: "Le Tambour", de Volker Schloendorff (RFA) et "Apocalypse Now", de Francis Ford Coppola (USA)
1976: "Taxi Driver", de Martin Scorsese (USA)
1970: "M.A.S.H.", de Robert Altman (USA)
1966: "Un Homme et une Femme", de Claude Lelouch (France)
1964: "Les Parapluies de Cherbourg", de Jacques Demy (France)
1963: "Le Guépard", de Luchino Visconti (Italie)
1961: "Viridiana", de Luis Bunuel (Espagne)
1960: "La Dolce Vita", de Federico Fellini (Italie)
1953: "Le Salaire de la peur" d’Henri Georges Clouzot (France)
1949: "Le Troisième homme", de Carol Reed (GB)
1947: "Dumbo, l’éléphant volant", de Walt Disney (USA)
1946: "Rome, ville ouverte", de Roberto Rossellini (Italie);

[SamReVolt]

2001: "La Chambre du fils", de Nanni Moretti (Italie): je le scope bientôt ^^
2000: Dancer in the Dark: jamais compris comment un truc pareil est pu avoir la palme... un navet sans nom...
1999: Rosetta: Dardennes Bros. Rulez !
1997: Unagi: chez d'oeuvre !
1996: Secrets & Lies: pareil, pas mal du tout, mais pas un souvenir imperrissable non plus.
1994: Pulp Fiction: un très bon film originale et poilant
1982: Narayama bushiko: je le scope bientôt ^^
1980: Kagemusha: je lui préfère nettement Ran, mais je n'ai jamais vu que la version tronquée aussi.
1964: Les Parapluies de Cherbourg: je le matte bientôt avec son pote de Rochefort.
1956: Le Monde du silence: le film qui m'a fait découvrir et aimé la mer, ainsi que l'excellente série du même nom.

Pour finir le prochain sera pour moi 2046 de wong kar wai

Heu, tu l'as vu ?
Sinon ya du sacré client en face.
Et puis plutôt que de le sacré une seconde fois, ils fairaient mieux d'éditer le reste de sa filmographie en DVD.

Parce c'est bien jolie de découvrir et de faire découvrir des réals grâce à Cannes, mais bon leur oeuvre ne saurait se limiter à leur seul film palmé.

[SamReVolt]

2001: "La Chambre du fils", de Nanni Moretti (Italie): je le scope bientôt ^^
2000: Dancer in the Dark: jamais compris comment un truc pareil est pu avoir la palme... un navet sans nom...
1999: Rosetta: Dardennes Bros. Rulez !
1997: Unagi: chez d'oeuvre !
1996: Secrets & Lies: pareil, pas mal du tout, mais pas un souvenir imperrissable non plus.
1994: Pulp Fiction: un très bon film originale et poilant
1982: Narayama bushiko: je le scope bientôt ^^
1980: Kagemusha: je lui préfère nettement Ran, mais je n'ai jamais vu que la version tronquée aussi.
1964: Les Parapluies de Cherbourg: je le matte bientôt avec son pote de Rochefort.
1956: Le Monde du silence: le film qui m'a fait découvrir et aimé la mer, ainsi que l'excellente série du même nom.

Pour finir le prochain sera pour moi 2046 de wong kar wai

Heu, tu l'as vu ?
Sinon ya du sacré client en face.
Et puis plutôt que de le sacré une seconde fois, ils fairaient mieux d'éditer le reste de sa filmographie en DVD.

Parce c'est bien jolie de découvrir et de faire découvrir des réals grâce à Cannes, mais bon leur oeuvre ne saurait se limiter à leur seul film palmé.
Et même au sein des compétitions, se serait sympa d'éditer tous les films qui se sont présentés et pas uniquement les vainqueurs.

[DotKom]

Pulp Fiction (1994)
Sex, Lies, and Videotape (1989)
Mission, The (1986)
Paris, Texas (1984)
Missing (1982)
Apocalypse Now (1979)
Taxi Driver (1976)
MASH (1970)
Salaire de la peur, Le (1953)


9 seulement

[Colonel Kurtz]

Elephant (2003) (un curieux cercle temporel,caméra neutre,existences prises à la volée,et la puis la violence qui éclate;inaccesible et/mais fort)
Pianist, The (2002) (histoire de grande solitude,d'isolement,de terreur finalement ;pas un film sur la SHOAH à proprement parler,c'est plus vaste,plus universel)
La chambre du fils (2001) (sobre,émouvant)
Dancer in the Dark (2000) (un électro-choc,esthétique et émotionnel)
Rosetta (1999) (un autre type de cinéma,cru,apre,déchirant)
Secrets & Lies (1996) (un beau film,sans plus)
Underground (1995) (l'un des plus fous hymne à la paix qui existe)
Pulp Fiction (1994) (chef d'oeuvre culte,c'est pas incompatible)
Barton Fink (1991) (un des Coen que j'aime le moins,m'a laissé indifférent)
Wild at Heart (1990)(extrème,passionné ,du bon)
Sex, Lies, and Videotape (1989) (j'aime pas,de la branlette intellectuelle)
Mission, The (1986) (très beau)
Paris, Texas (1984)(je vais le voir cette semaine sur le sat)
Missing (1982) (histoire très forte,mise en scène simple,limpide)
Apocalypse Now (1979) (no comment)
Le tambour (1979)(curieux et un brin destabilisant)
Taxi Driver (1976)(une tuerie,intemporel)
Conversation, The (1974) (souvenirs flous,ennnuyeux)
Scarecrow (1973)(un film boulversant)
MASH (1970) (absolument génial)
Blowup (1966) (intéressante réflexion sur l'image)
Salaire de la peur, Le (1953)(monument de suspense)



Pour moi .
Et peut-être d'autres dont j'ai pas traduit le titre vo .....

[NICOLAS mag 2]

Heu, tu l'as vu ?

perchon l'a vu
mais ça peut tout aussi bien aller dans ton sens cd s'il recoit la palme les editeurs vont s'empresser de sortir tous ses films

ensuite pour karras le grand prix n'est apparu qu'en 1949 pour the third man, avant c'etait des prix par genre ou un prix du jury international comme ce fut le cas pour la bataille du rail. La palme d'or apparait sous ce titre en 1955, redisparait entre 1964 et 1974.

enfin ça castagne dur sur sexe, mensonge et video et dancer in the dark.

[SamReVolt]

Heu, tu l'as vu ?

perchon l'a vu
mais ça peut tout aussi bien aller dans ton sens cd s'il recoit la palme les editeurs vont s'empresser de sortir tous ses films

Hum vu dans Soir 3, avis mitigé au sortir de la projection (bon en même temps le public des projections )
Bon faut dire que Wong n'est arrivé que jeudi matin à Cannes avec les dernières bobines du films (il tournait encore des plans en Thailande la semaine dernière ), donc ceci explique peut-être cela, pas évident de refaire le coup de In The Mood for Love.

Sinon la journaliste à enchainé en parlant de Innocence (correctement et en bien).

J'ai pu voir des nouveaux plans (inédits sur tous les trailers que j'ai pu voir).

[Colonel Kurtz]

Paris,Texas .
Un homme y achète par correspondance une parcelle de terre nue,persuadé que c'est là qu'il a été conçu,et que c'est la qu'il doit finir;le même homme erre désormais dans le désaert Mojave,décidé il suit un point dans l'horizon,un blues trainant( ) l'enserre,il poursuit une vie qu'il a perdu 4 ans plus tôt ....

A partir de là tout est dit ,ou pas grand chose .
Film tout en chair,sang et émotions,road movie,usé,écrasé par la lumière,puis aérien,tout en nuances,les couleurs ,les gens,les paysages ,la route comme errance puis comme but ;Wim Wenders arrête presque le temps .
L'homme c'est Harry Dean Stanton,silhouette inquiète,fièvreuse,démente,qui repasse peu à peu du coté des vivants,des gestes simples(instants magique d'un homme feuilletant un magazine pour voir à quoi ressemble un père),son fils ,un amour sans limites .
La femme,c'est N.Kinski ,un ange blond ,au sourire rayonnant,,convoitée par les flammes de l'enfer (arf John Lurie).
Touchant,subtil,déchirant ,difficile de rendre grace à la pureté qui se dégage de ce film .
Rarement histoire d'amour n'aura été aussi belle,profonde,passionnée,et qui aurait pu croire que c'est au détour d'un lugubre peep-show (procédé de mise en scène absolument génial ),qu'elle gagnerait l'apaisement ?

Superbe .

[diesel]

Pour finir le prochain sera pour moi 2046 de wong kar wai

Heu, tu l'as vu ?
Sinon ya du sacré client en face.
Et puis plutôt que de le sacré une seconde fois, ils fairaient mieux d'éditer le reste de sa filmographie en DVD.

Parce c'est bien jolie de découvrir et de faire découvrir des réals grâce à Cannes, mais bon leur oeuvre ne saurait se limiter à leur seul film palmé.
Et même au sein des compétitions, se serait sympa d'éditer tous les films qui se sont présentés et pas uniquement les vainqueurs.

Heu, Wong Kar Wai n'a jamais été palmé.

[Zorg]

Quoi, même en allant à la plage à Cannes en face du Martinez ou du Ritz ?

[Colonel Kurtz]

Aie .

[Zorg]

[SamReVolt]

Effectivement

Sinon l'a eu le prix d'interprétation masculine pour Tony Leung à Cannes 2000 et le prix du meilleur film étranger aux Césars 2001.
Et puis cela ne change rien à l'esprit de ma réflexion, puisque je parle de ces films pris dans une hype médiatique qui occulte tout le reste.