Evil dead 2 9/10 = Je viens de le remater avec un pote et putain ce film est vraiment terribe !!!!! Une mise en scène halucinante pour un film de folie !!!!!!!!
C.H.U.D. (7,5/10) :Une très bonne série B digne des films des 50's-60's. J'ai beaucoup aimé comment les persos sont mis en place tranquillement pendant le métrage.
The extremists : Une bouse, mal réalisée, avec un scénario assez inepte, qqs rares plans agréables de glisse, malgré tout ça se laisse suivre sans ennui trop profond, reste à des milles lieux au dessus de Snowboarder . 2,5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
La rage du tigre : Ca y est j'ai enfin vu un des films mythique qui manquait à mon tableau de chasse, en salle qui plus est, un vrai bonheur de violence dans le plus pur style Chang Cheh, un fin incroyable, qqs longueurs au milieu, mais la sauce prend bien entre les deux personnages. 8/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Pumping Iron (7/10) : Doc impressionnant sur le milieu du culturisme au milieu des 70's avec la présence de Schwarzy et Lou Ferrigno concourant pour le titre de M. Olympe . Rarement autant vu de viandes au m² dans un film .
Les décimales du futur : Du fantastique à l'australienne, opérée par un réalisateur de Chapeaux melon et bottes de cuir, au final une curiosité qui se laisse voir sans déplaisir, avec comme souvent dans les films de cette époque, un sens de l'anticipation assez pointu. 7/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
40 jours, 40 nuits : De la merde... voilà c'est tout. 0,25/10
Le chemin de la liberté : Philip Noyce étonament sobre évoque le pb de déracinement des tribunes aborigènes en australie à travers le destin de trois jeunes enfants, film assez touchant, avec trois gamines formidables et le désert australien. 6,5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Blade II : Aprés m'etre endormi deux fois devant la suite d'un film qui m'avait bien plu, j'ai enfin réussi à aller au bout, je n'ai pas retrouvé le coté fun que j'avais bien aimé dans le premier, l'intrigue se voulant par trop tarabiscoté, avec qqs longueurs dans le milieu du métrage, mais au final un film qui déménage pas mal avec de bonnes grosses scènes d'action. 7,5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Panic Room : huis clos oppressant par un David Fincher perfectionniste, pointilliste au dernier degré, et dont la vision du DVD permet de mesurer quelle gageure logistique et technique fut le tournage. 7.5/10
Hercule à New-York (1,5/10) : Le premier film d'Arnold Strong . Un nanar possédant quand même une scène d'anthologie: un combat entre Schwarzy et un grizzli (enfin un mec dans un costume de grizzli ).
Spider-Man: Un des meilleurs films de superhéros qu'il nous ait été donné de voir. Avec X-Men 2, de très loin le film où l'essence du héros a été le mieux saisi. 8/10
Edit: J'ai maté le premier hier soir en DVD. Ça compte ?
Modifié en dernier par Zouèze le 14.07.2004 - 19:02, modifié 1 fois.
Zouèze a écrit :Spider-Man 2: Très bonne suite qui continue à construire sur les bases d'un premier épisode de fort bonne facture la mythologie du personnage de l'Homme Araignée. 8/10