La donzelle est très, mais alors TRES loin, de me faire bander, mon cher Gouverneur.Colonel Kurtz a écrit :Bon y a quand même un plan sous-marin monstrueux de l'entre-cuisses de Mlle Lewis,merde on est tous d'accord ?
Blueberry
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peter wonkley
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Zouèze
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Euuuuuuuuuuh....peter wonkley a écrit :wouéwoué elle aurait pu s'épiler !Zouèze a écrit :La donzelle est très, mais alors TRES loin, de me faire bander, mon cher Gouverneur.Colonel Kurtz a écrit :Bon y a quand même un plan sous-marin monstrueux de l'entre-cuisses de Mlle Lewis,merde on est tous d'accord ?
Non, même pas.
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M_RiK
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Charmant... Sur ces considérations hautement pilosophiques, je me permets... Un avis, de l'époque où je suis allé le voir en salle...
Après tout ce que j’ai pu en entendre (j’ai eu beau ne pas écouter, tout de même, ça fait mal) et n’étant pas franchement – pour ne pas dire pas du tout – fan de Dobermann, j’y suis donc allé "juste pour voir". Franchement, Kounen a raté de peu un bon film. Original, il l’est sûrement pour quelqu’un – moi en l’occurrence – qui ne connaît pas la bande dessinée. Je tire mon chapeau à l’équipe technique : des paysages (espagnols et mexicains) superbes qui sont pour beaucoup dans l’atmosphère plutôt réussie du film. Les acteurs sont plutôt bons (moi qui aime beaucoup Colm Meaney, j’étais très content), beaucoup de bonnes "gueules" ; le genre s’y prête et Kounen ne se prive pas. Restent deux gros défauts : le film reste extrêmement brouillon, involontairement malheureusement. Si cela peut contribuer à créer une ambiance à petite dose, ici la narration du film s’en trouve bien plombée. Mais surtout, chose déjà présente dans Dobermann, une mise en images très pompeuse : des mouvements et des placements de caméras voyants et injustifiés qui finissent par être fatigants à la longue. À noter également des séquences en images de synthèses inégales, allant du joli et gentiment poétique au franchement moche et gratuit. Bref, une belle tentative, audacieuse et à renouveler, à laquelle, malheureusement, il manque quelque chose (une relecture et une mise au propre peut-être ?). Débarrassé de ses "tics" gratuitement provoc', Kounen (dont ce n’est que le deuxième long métrage tout de même) serait bien capable de pondre un troisième opus de bonne qualité, avant 2011 quand même ?
Je n'ose le revoir en DVD, j'ai vraiment peur que les défauts (auxquels s'ajoute avec le temps, le souvenir d'un manque total de rythme dans sa première partie) me flinguent définitivement les restes de bonne impression du film. Un film qui "m'énerve"... Dommage.
Après tout ce que j’ai pu en entendre (j’ai eu beau ne pas écouter, tout de même, ça fait mal) et n’étant pas franchement – pour ne pas dire pas du tout – fan de Dobermann, j’y suis donc allé "juste pour voir". Franchement, Kounen a raté de peu un bon film. Original, il l’est sûrement pour quelqu’un – moi en l’occurrence – qui ne connaît pas la bande dessinée. Je tire mon chapeau à l’équipe technique : des paysages (espagnols et mexicains) superbes qui sont pour beaucoup dans l’atmosphère plutôt réussie du film. Les acteurs sont plutôt bons (moi qui aime beaucoup Colm Meaney, j’étais très content), beaucoup de bonnes "gueules" ; le genre s’y prête et Kounen ne se prive pas. Restent deux gros défauts : le film reste extrêmement brouillon, involontairement malheureusement. Si cela peut contribuer à créer une ambiance à petite dose, ici la narration du film s’en trouve bien plombée. Mais surtout, chose déjà présente dans Dobermann, une mise en images très pompeuse : des mouvements et des placements de caméras voyants et injustifiés qui finissent par être fatigants à la longue. À noter également des séquences en images de synthèses inégales, allant du joli et gentiment poétique au franchement moche et gratuit. Bref, une belle tentative, audacieuse et à renouveler, à laquelle, malheureusement, il manque quelque chose (une relecture et une mise au propre peut-être ?). Débarrassé de ses "tics" gratuitement provoc', Kounen (dont ce n’est que le deuxième long métrage tout de même) serait bien capable de pondre un troisième opus de bonne qualité, avant 2011 quand même ?
Je n'ose le revoir en DVD, j'ai vraiment peur que les défauts (auxquels s'ajoute avec le temps, le souvenir d'un manque total de rythme dans sa première partie) me flinguent définitivement les restes de bonne impression du film. Un film qui "m'énerve"... Dommage.
M_RiK, "Le mime Marceau a vieilli, mais il est toujours aussi rigolo quand il nous mime la loutre... ici le mime, mimant la loutre."
RaNaBat', "C'est triste un neurone quand c'est éteint."
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Colonel Kurtz
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Comme "tout" fan de Dobermann, que ne fut pas ma surprise quand j'en suis venu à detester le film en salle.
Cast impérial, background étudié et budget conséquent ... le début du rêve.
Que dire ... si la vision en salle de ce truc m'avait laissé complètement perplexe, j'en suis devenu à me demander si la version qu je venais d'engloutire gentillement assis dans mon salon correspondait au même montage. D'un film ennuyeux et complètement hermétique, le voila qu'il endosse son costume d'expèrience cosmique et extrèmement fascinante.
La faute à qui ? Si l'expèrience solitaire m'a ravie, je crois que le film a tout simplement été vendue d'une bien mauvaise façon lors de sa sortie en salle. Kounen ayant (a mon avis) participé à la radicalisation du cinéma FR à la findes années 90 (pour notre plus grand bonheur), peut être que le virage effectué n'a pas été suffisement souligné ... il ne reste plus rien de la BD ... il ne reste plus rien de Dobermann ... il ne reste plus rien du cinéma frenchie.
A savourer seul ... dans le noir ... bien loins de ses propres préoccupations. Un voyage magnifique qui peut finallement être savouré.
Quant au dvd, il propose une bien belle copie et trés peu de défauts de compressions. Par contre la copie a été assombrie ... ce qui rend certaine scène assez illisible ... mais qui en magnifie quantité d'autres.
Piste sonnore trés efficaces et bien spacialisées.
NB : VO détésatble ... une partie des dialogues en français étant incompréhensibles.
Cast impérial, background étudié et budget conséquent ... le début du rêve.
Que dire ... si la vision en salle de ce truc m'avait laissé complètement perplexe, j'en suis devenu à me demander si la version qu je venais d'engloutire gentillement assis dans mon salon correspondait au même montage. D'un film ennuyeux et complètement hermétique, le voila qu'il endosse son costume d'expèrience cosmique et extrèmement fascinante.
La faute à qui ? Si l'expèrience solitaire m'a ravie, je crois que le film a tout simplement été vendue d'une bien mauvaise façon lors de sa sortie en salle. Kounen ayant (a mon avis) participé à la radicalisation du cinéma FR à la findes années 90 (pour notre plus grand bonheur), peut être que le virage effectué n'a pas été suffisement souligné ... il ne reste plus rien de la BD ... il ne reste plus rien de Dobermann ... il ne reste plus rien du cinéma frenchie.
A savourer seul ... dans le noir ... bien loins de ses propres préoccupations. Un voyage magnifique qui peut finallement être savouré.
Quant au dvd, il propose une bien belle copie et trés peu de défauts de compressions. Par contre la copie a été assombrie ... ce qui rend certaine scène assez illisible ... mais qui en magnifie quantité d'autres.
Piste sonnore trés efficaces et bien spacialisées.
NB : VO détésatble ... une partie des dialogues en français étant incompréhensibles.
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Colonel Kurtz
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