

Modérateur : dino VELVET
Oui mais non.Jack Sparrow a écrit :Chacun fait ce qu'il veut en meme temps...Zorg a écrit :Se taper 1000 bornes pour aller chez les frisés voir deux bandes de tapettes en short se disputer un malheureux ballon, si C pas signe de la déchéance de l'humanité ca....![]()
Les voyages forment la jeunesse
il va être irréprochable ,et si il a le sang chaud c'est pour moi une grande qualité (et faut voir les coups qu'il reçoit à longueur de matchs) ...The DeathScythe a écrit :
Il devrait faire la paire avec Ribery question mental...
Yahoo! Actu a écrit :Mondial-2006: Pour Domenech, l'incident Coupet "est clos"
Le sélectionneur de l'équipe de France de football Raymond Domenech s'est évertué jeudi à Tignes à éteindre le feu qui avait pris la veille avec le coup de sang de Grégory Coupet, reconnaissant que le gardien de Lyon avait "craqué" mais assurant que l'incident était "clos".
"Il y a effectivement eu un souci, Grégory Coupet a eu un moment de +blues+, il a craqué, ça arrive", a reconnu le sélectionneur lors d'une courte déclaration au cours d'une conférence de presse à laquelle il ne devait initialement pas participer.
"Il est parti et revenu de lui-même, ça s'est passé vite fait, a ajouté le sélectionneur. On a eu une explication. Pour nous l'incident est clos."
En quelques minutes, clair et précis, Domenech a recadré les ratés de la communication des Bleus la veille, quand l'escapade du gardien N.2 avait entraîné de sérieux moments de flottement, et a tenté de reprendre la main. Le message du sélectionneur est clair: tout va de nouveau bien chez les Bleus.
Jeudi matin, Coupet était d'ailleurs présent sur le terrain d'entraînement avec ses 22 coéquipiers, plutôt détendu et très disponible pour les autographes réclamés par de nombreux supporteurs. Les "Coupet, Coupet" scandés par quelques dizaines d'entre eux ont dû lui réchauffer le coeur, peut-être encore meurtri.
Il a partagé sa séance d'une heure avec Fabien Barthez et Mickaël Landreau, même si Barthez a fait un peu de rab en solo avec Bruno Martini alors que les 22 autres s'étaient déjà éclipsés.
Le gardien de Marseille (L1) n'a d'ailleurs pas semblé se ressentir de sa douleur au mollet gauche qui, la veille, l'avait empêché d'effectuer l'ascension jusqu'au sommet du glacier de la Grande-Motte (3656 m) avec ses 22 coéquipiers. Barthez était vite redescendu à l'hôtel et n'était pas remonté pour déjeuner en altitude avec les femmes. Coupet n'aurait pas apprécié. C'est là qu'il a "craqué", quittant brièvement l'hôtel des Bleus au volant de sa voiture personnelle, avec femme, enfants et bagages.
Mais l'incident Coupet n'a semble-t-il pas perturbé l'équilibre du groupe France, et l'"opération cohésion" imaginée par Domenech, avec cette nuit en refuge à 3000 m et l'ascension du glacier de Tignes, a gardé ses effets bénéfiques. La virée à 3656 m a d'ailleurs fait l'unanimité.
Jeudi, en conférence de presse, Lilian Thuram n'a pas esquivé les questions sur le comportement du gardien de Lyon, jugeant même que "c'est une bonne chose que cela arrive aussi tôt".
"Revenir, cela veut dire qu'il (Coupet) est passé de l'autre côté, il a accepté (le fait d'être N.2), c'est très sain. Cela n'a pas de répercussion négative sur le groupe", a assuré le défenseur de la Juventus Turin.
Mikaël Silvestre a quant à lui appris seulement... jeudi matin la nouvelle du coup de sang de Coupet. "Je ne suis pas surpris. L'abcès a été crevé, les choses de la vie reprennent leur cours, a jugé le défenseur de Manchester United. On a besoin de Grégory Coupet. Il a une très bonne personnalité. C'est bien qu'il soit encore ici, c'est positif."
Coupet n'a pas baissé pavillon. Le petit drapeau bleu-blanc-rouge, planté par les Bleus au sommet de la Grande-Motte mercredi comme le symbole d'une conquête commune, d'un accomplissement collectif, flotte donc encore.