L'histoire vraie du prodige du surf Jay Moriarity. Lorsque, à 15 ans, Jay découvre que le mythique spot de Mavericks, où se forme l'une des plus grosses vagues du monde, se situe près de chez lui à Santa Cruz, l'adolescent fait appel à Frosty Hesson, une légende locale, afin de l'aider à s'y mesurer. Alors qu'ils se préparent à réaliser l'exploit de dompter l'une des plus dangereuses vagues qui soit, une amitié unique se noue entre Jay et Frosty, qui va transformer leur vie bien au-delà du domaine du surf.
Pour moi, il y a deux types de films convenus.
Ceux qui, fades et chiants, ennuient et agacent et ceux qui, on ne sait trop pourquoi, parviennent tout de même à tirer leur épingle du jeu et à assurer un spectacle franchement plaisant (le premier exemple qui me vient à l’esprit est l’excellent Warrior de Gavin O’Connor).
J’aurais tendance à classer Chasing Mavericks dans la seconde catégorie.
Le truc est cousu de fil blanc, archi prévisible mais ... sympa.
Simple mais bon.
Une sorte de Karaté Kid version surf avec des personnages attachants et deux têtes d’affiche qui font bien le boulot.
Rien d’exceptionnel mais ça divertit efficacement.
Un bon petit film du samedi soir qui mérite qu’on lui laisse sa chance ...
