Posté : 04.03.2004 - 01:07
Freres des ours(4,5/10) : Les studios Disney font dans le réchauffé. Des graphiques pas vraiment à la hauteur et surtout des chansons vraiment insupportables (Phil Collins en français c'est cauchemardesque ).
L'indestructible forum
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Nono-Binks a écrit :Frère des ours : 8/10 Pas mal du tout
Nono-Binks a écrit :Podium : 9/10 Un superbe film...Tout simple mais réellement efficace
4/6= 6.6/10 soit 6.5 puisque les notes vont de 0.5 en 0.5Heartbreaker a écrit :Je l'ai vu mardi dernier, et bien j'ai trouvé ça plutôt cool (j'étais cependant pas dans un bon état d'esprit, alors...) même s'il n'y a plus le côté sombre de ses précédents films (celui-ci est très coloré), cela reste bin "Burtonien". Quelques longueurs je trouve, mais sinon un très bon film...
4/6
Quand bien mêmesnake_7 a écrit :Retour a Cold Moutain : 3/10 J' ai été le voir car déjà y' avait Nicole, puis je pensai pas que c' était si nul que ca, et que ma copine voulait le voir et finalementJ' ai bien perdu mon temps
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In America : 8.5/10 Un film magnifique, pleins d' émotions et qui me fait penser que ce début d' année est franchement très bon![]()
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J' ai même laché quelques larmes quandSpoiler: Afficher![]()
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(Non j' suis pas paidai
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L' effet papillon :BouBout a écrit :Attention, film "prise de tête".
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Bon, quand je dis "prise de tête", c'est dans le bon sens du terme.
Ce qu'il faut surtout, c'est suivre. Surtout ne jamais décrocher de l'histoire.
Nous sommes à l'antithèse de James Bond.
Tout le long de l'histoire, le spectateur est dans la peau d'un "bras armé" des services secrets. Jamais dans "la tête".
Pourquoi, comment ? on s'en tape. On execute !!!
Au début, le scénario se met en place.
Les acteurs (je devrais dire les pions) se croisent, se découvrent et on se prend au jeu de la découverte.
Mais ça dure, un peu, longtemps... trop longtemps.
Qui est qui ? qui fait quoi ? pour qui ? pourqoui ???
Trop de questions dans trop de longueur !
Le film est rudement bien tourné.
De ce côté, la réalisation est impécable.
Par exemple le rendu de l'opressante ambiance de la prison pour femme est génial.
Vu à l'UGC Lille
Ma note 3,5/10.
Merci SamBouBout a écrit :Un film terrible !!!
Ce sont les idées, plus que les images, qui font que ce film est choquant et interdit au moins de 12 ans.
Suivant la "période" où il se trouve, notre héros sera dans un univers aux couleurs sombres ou luxuriante.
Au fil de l'histoire, les absences laissent la place aux flashs et le puzzle se reconstitue. On comprend tout, le pourquoi des "trous de mémoires" fort logiques à postériori.
On est bluffé !!!
Le scénario se tient à la perfection.
Un seul regret, la bande son que j'ai trouvé un peu faiblarde, mais je pense que cela était plus du au cinéma et à ma position dans la salle (dans un recoin).
Vu en VO à l'UGC Lille.
Ma note 8/10.
4/6=6.6/10 = 6.5 pris en comptealan now shut up a écrit :Il ne faut pas lire les livres avant de voir leurs adaptations ? Le film de Webber ne m'a jamais complètement transporté, et je n'ai cessé de me demander ce qui en aurait été si j'avais découvert le film tel quel. Outre ces considérations, que retenir? La capacité cinégénique des scènes dans l'atelier telles qu'elles sont décrites chez Chevalier n'a pas échappé au réalisateur, qui en tire les plus belles scéquences de son film. Pas vraiment dans l'invention formel, mais plus parce que ce que l'on voit est réellement fascinant, que Webber a pris le risque du rythme adapté.
Mais voilà, même à ce niveau on en a pas assez... Le principal problème de "Girl with a Pearl Earring", c'est qu'à l'écran, le récit prend du recul. Alors comme on parle de peinture, on fait visuellement allégeance à cet art via une photo qui s'efforce de retranscrire la vision du peintre. Procédé déjà en place par exemple dans le "Rembrandt" de Matton, et assez étouffant, même si ici il sublimes quelques idées très réussis pour faire le lien entre peinture et cinéma( le temps de champs/contre-champs en gros plan et d'un travelling ou le visage de Scarlett/Griet se fige dans sa pose). Eduardo Serra a beau faire un travail époustouflant, le résultat à l'arrivée laisse assez perplexe dans sa pertincence. Du roman de la jeune Griet, cette histoire se transforme en film Vermeer.
Si on peut être grès au réalisateur de garder de la distance face au mystère de la création, le Vermeer campé par Colin Firth fais plus figure de larve que de haute figure ambigu... Les prédateurs qui entourent la virginal Griet font ainsi pâle figures, Cillian Murphy étant une belle erreur de cast (qui croira à un fils de boucher?). En fait beaucoup de choses sont simplifiées, l'aspect démonstratif du roman schématisé. On saisit tout de cette "jeune fille à la perle" qui malgré son mood un peu particulier a peu de secrets à garder. Le final, là aussi qui prend ses libertés avec le livre, laisse perplexe par sa facilité.
Reste qu'honnètement le film se tient de bout en bout, mais pas assez pour vraiment bousculer le film en costume anglais comme se plait à l'annoncer son réalisateur dans les diverses interviews. On sent beaucoup de bonnes intentions, mais au final, Webber finis toujours par revenir à une certaine forme conventionnelle. On retiendra le film surtout par la prestation de Scarlett Johansson, qui évite de faire de Griet une simple image de pureté caricaturale... et puis pour la musique vraiment sublime d'Alexandre Desplat.
4/6