Posté : 03.07.2003 - 13:20
Le Corps et le Fouet. Un drame sado-masochiste filmé par Mario Bava avec Christopher Lee armé d’un fouet et Daliah Lavi qui prend des coups et qui aime ça. Une magnifique ambiance gothique sur un rythme lent qu’il faut apprivoiser pour apprécier le film. J’ai tripé. 14/20. Merci Mad Movies 
Miller’s Crossing. 17/20. Que dire après une telle note ? Deux génies de l’écriture et de la réalisation se cachent derrière ce film.
Le Masque du Démon. Encore un Mario Bava (qui signait son premier film). L’histoire d’une sorcière qui, deux siècles après avoir été exécuté, revient pour se venger auprès des descendants de ses bourreaux (rancunière la bougresse). On sait où Tim Burton a trouvé quelques-unes de ses références pour son Sleepy Hollow (le masque de torture avec les piques à l’intérieur, l’effusion de sang qui suit, les trous dans la peau + le générique où le carrosse roule dans les sous-bois embrumés...) et même Gans pour son Pacte des Loups (le cadavre dans la rivière qui se serait fait déchiqueter par une bête non identifié). Bref, j’ai encore plus tripé La photographie N&B est fa-bu-leu-se, l’ambiance sent bon la malédiction de sorcière, c’est beau, lugubre, c’est un film d’horreur italien comme on en fait plus et qui est devenu un classique, une référence, le précurseur d’un genre. Merci à Cdiscount de m’avoir vendu ce film pour 5 dollars (pareil en euro). Seule ombre au tableau : pas de VO. Obligé de le regarder en version anglaise ou française et de supporter la désynchronisation des lèvres. 15/20 à cause de ça.
Les Sentiers de la Gloire. Seul Kubrick que je n’avais pas encore vu, je peux mourir en paix. Mention spéciale au jeu de Kirk Douglas et à la photographie. Et vive la France. 16/20
Tokyo Decadence. Un film merdique sur la vie d’une prostipute japonaise aussi nerveuse qu’un cadavre. C’est long avec des plans répétitifs (la prostipute va chez son client, le réalisateur se sent obligé de nous la montrer en train de longer le loooong couloir de l’hôtel qui la mène jusqu’à la chambre… Elle repart, pareil, le loooong couloir). Le film se résume à des parties sexuelles perverses et cocasses (mais je me demande si c’est voulu) genre le mec chargé à la coke demande à se faire fellationner la nouille pendant qu’une autre prostipute l’étrangle à l'aide d'une cravate. Il finira asphyxié, ressuscité (ressuscité, j’ai dit) et trempant dans son pipi. Trop drôle. 03/20

Miller’s Crossing. 17/20. Que dire après une telle note ? Deux génies de l’écriture et de la réalisation se cachent derrière ce film.
Le Masque du Démon. Encore un Mario Bava (qui signait son premier film). L’histoire d’une sorcière qui, deux siècles après avoir été exécuté, revient pour se venger auprès des descendants de ses bourreaux (rancunière la bougresse). On sait où Tim Burton a trouvé quelques-unes de ses références pour son Sleepy Hollow (le masque de torture avec les piques à l’intérieur, l’effusion de sang qui suit, les trous dans la peau + le générique où le carrosse roule dans les sous-bois embrumés...) et même Gans pour son Pacte des Loups (le cadavre dans la rivière qui se serait fait déchiqueter par une bête non identifié). Bref, j’ai encore plus tripé La photographie N&B est fa-bu-leu-se, l’ambiance sent bon la malédiction de sorcière, c’est beau, lugubre, c’est un film d’horreur italien comme on en fait plus et qui est devenu un classique, une référence, le précurseur d’un genre. Merci à Cdiscount de m’avoir vendu ce film pour 5 dollars (pareil en euro). Seule ombre au tableau : pas de VO. Obligé de le regarder en version anglaise ou française et de supporter la désynchronisation des lèvres. 15/20 à cause de ça.
Les Sentiers de la Gloire. Seul Kubrick que je n’avais pas encore vu, je peux mourir en paix. Mention spéciale au jeu de Kirk Douglas et à la photographie. Et vive la France. 16/20
Tokyo Decadence. Un film merdique sur la vie d’une prostipute japonaise aussi nerveuse qu’un cadavre. C’est long avec des plans répétitifs (la prostipute va chez son client, le réalisateur se sent obligé de nous la montrer en train de longer le loooong couloir de l’hôtel qui la mène jusqu’à la chambre… Elle repart, pareil, le loooong couloir). Le film se résume à des parties sexuelles perverses et cocasses (mais je me demande si c’est voulu) genre le mec chargé à la coke demande à se faire fellationner la nouille pendant qu’une autre prostipute l’étrangle à l'aide d'une cravate. Il finira asphyxié, ressuscité (ressuscité, j’ai dit) et trempant dans son pipi. Trop drôle. 03/20