Un volume qui voit enfin la véritable entrée en scène des Espadas, l’élite des Arrancars et qui est en grande partie consacré à Rukia : la Shinigami qui servait de « princesse à sauver » dans la précédente saga se dévoile ici sous un tout autre jour.
Tenma, Yato et Yuzuhira sont en mission éclair aux Enfers pour une mission déterminante dans la guerre sainte entre le Sanctuaire et les Spectres.
Le chevalier Pégase y fait une rencontre inattendue en la personne d’Asmita, le chevalier d’or de la Vierge, qui n’hésite pas à tenir des propos surprenants sur Athéna et son incarnation actuelle.
Dans le même temps, une escouade de Spectres menés par Cheshire du Cat Sith débarque à Jamir.
Un bon volume moins épique que le précédant mais qui nous présente un chevalier de la Vierge assez intéressant dans ses petites différences avec le Shaka contemporain.
C’est le printemps : les cerisiers sont en fleurs et Fuura Kafuka, une lycéenne d’un optimiste béat, se rend en classe toute heureuse.
C’est alors qu’elle croise un homme pendu à un de ces si jolis cerisiers !
Après avoir sauvé le pendu (qui fait preuve d’une rare ingratitude), elle se persuade que personne n’aurait envie de se suicider par une si belle journée et que le monsieur voulait simplement grandir un peu…
Cette rencontre aussi incongrue que brève aurait pu en rester la mais le sort à voulu que le suicidaire, Nozomu Itoshiki est le nouveau professeur principal de Kafuka !
Une série complètement loufoque ou le personnage du professeur ultra pessimiste est peut être moins étrange que la plupart de ses élèves : Stalker, Recluse, maniaque de la perfection, accro du Sms : tous les gros travers de la société nipponne sont représentés dans cette salle de classe.
C’est également l’occasion pour l’auteur de se lancer dans des théories absurdes aux logiques totalement « autres » sur divers sujets de sociétés et passages obligés dans la scolarité des jeunes japonais.
Un livre joliment illustré sur la carriere du réalisateur de ces débuts dans des comedies à deux balles à Windtalkers.
Un peu court et pas totalement exhaustif mais interessant !
