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Posté : 09.04.2006 - 12:53
par peter wonkley
je ne vais plus te montrer des films 80's

Posté : 09.04.2006 - 13:22
par Pp79
Si, j'en veux encore. Putain heureusement qu'on a mis ça hier. Sinon, je serais passer à côté d'un chef d'oeuvre !

Posté : 10.04.2006 - 11:03
par peter wonkley
peter wonkley a écrit :
T'ENTENDS ?
A TOUS CEUX QUI S'EXPLOSENT GRATUITEMENT POUR LA CAUSE !
Posté : 10.04.2006 - 11:54
par creepers
Posté : 10.04.2006 - 18:23
par creepers
Posté : 10.04.2006 - 20:44
par hulk
Posté : 11.04.2006 - 13:25
par peter wonkley
ALORS LA JE DIS NON !
Posté : 11.04.2006 - 16:09
par creepers
Posté : 11.04.2006 - 20:31
par creepers
après un 1er album assez énorme ils reviennent et ça débouche les oreilles !!

Posté : 12.04.2006 - 10:46
par peter wonkley
In 1993 the Wu-Tang Clan redefined hip-hop with their gritty debut Enter the Wu-Tang (36 Chambers). With the proliferation of a whole slew of questionable solo projects from group members Raekwon (Immobilarity) and RZA (Digital Bullet--huh?) to a recently slapped together Ol' Dirty Bastard greatest-hits compilation, everybody's fave rap group have been on autopilot. On Iron Flag, the rap assassins from Staten Island give you sharp reminders of what made them so brilliant. Knob twiddler extraordinaire RZA mishmashes obscure soul riffs and horn blasts on "Uzi (Pinky Ring)" and "Rules," upping the mixing-console ante. "Back in the Game" brilliantly utilizes the ubiquitous love croons of Ronald Isley over a sparse piano loop and scattered acoustic guitars, while Flavor Flav's guest rants on "Soul Power (Black Jungle)" take this one over the top. Sure there are a few toss-away tracks, like "Chrome Wheels," where the Clan lazily rip misogynist rhymes over an uninspiring Alexander O'Neal sample, but eclectic, low-bpm numbers like "Babies" more than make up for the crew's few shortcomings. Ol' Dirty Bastard, the only Wu banger who couldn't record on this album, is in some correctional facility smiling right now.
Posté : 12.04.2006 - 21:16
par creepers
Posté : 12.04.2006 - 21:25
par peter wonkley
PP et creep essayez de pecho ca vous allez surkiffer !!!
On n'est pas loin de l'idée d'Ornette Coleman lorsqu'il enregistra en 1960 Free Jazz avec un double quartette. La réunion de Fantômas, side project de l'azimuté Mike Patton (chanteur de Faith No More) qui a croisé le fer avec les plus extrêmes bruitistes (Merzbow et Mr. Bungle par exemple), et des Melvins de Buzz Osborne, alias King Buzzo, était logique. C'est donc bien d'un big band dont il s'agit, plus précisément d'un double trio emmené par Mike Patton, servi par une section rythmique de folie : deux guitaristes (Buzzo, Dave Stone), deux bassistes (Kevin Rutamanis, Trevor Dunn) et deux cogneurs fous (Dave Lombardo, Dave Crover). Millenium Masterwork 2000 est en fait un live, purement expérimental, en forme de jam qui, plus qu'aux fans de Slayer, Melvins et Faith No More, s'adresse aux amateurs d'improvisations extrêmes, de hardcore déjanté, voire de japanoise. Certes brouillon, toujours bouillonnant, et cependant pas à négliger.
Posté : 12.04.2006 - 22:40
par peter wonkley
On savait depuis Face Value en 1981 que pour Phil Collins il y avait une vie hors de Genesis. On savait aussi que ce perfectionniste dans l'âme passait des heures et des heures en studio à la recherche de la note désirée. Avec Serious Hits Live, paru en 1990, on avait désormais la confirmation qu'il était aussi un homme de scène. Accompagné par un orchestre de premier choix, Collins donne une nouvelle dimension à son répertoire, à ses ballades qui, de "Against All Odds (Take A Look At Me Now)" à "In The Air Tonight", en passant par "One More Night", ont été et sont encore fredonnées par le monde entier. Ce qui n'exclut en rien un intérêt tout particulier pour la soul sixties version Motown ("You Can't Hurry Love").
Posté : 12.04.2006 - 22:59
par Pp79
C'est les textes d'Amazon que tu recopies là ?

Posté : 12.04.2006 - 23:03
par peter wonkley
yep !
et pecho millenium monsterwork !