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Posté : 12.07.2008 - 15:13
par BaNDiNi
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Quelle surprise en recevant le pli de la part de l'éditeur et de voir qu'il se trouve une rue derrière chez moi...

y a meme des simili daleks dans Umbrella !

Posté : 22.07.2008 - 17:21
par The DeathScythe
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Le début d'un long (et inédit par rapport à la série ou aux films) flash-back sur les origines de la guerre d'un an, la prise de contrôle de Zeon par la famille Zabi et le parcours de Casval et Artesia, héritiers du père de l'Independence, et futurs Char Aznable et Saila Mass...

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Wesley Gibson est un jeune homme assez quelconque: cocu, coincé dans un job minable, hypocondriaque.
Il est très loin de s'imaginer que le père qu'il n'a jamais connu était un super-vilain comme on en trouve dans les pages de ses comics et qu'il doit hériter de sa fortune mais aussi son costume.
Millar, plus sale gosse que jamais, se lâche dans une histoire subtile comme un troupeau d'éléphants et délicate comme une réunion de hooligans bourrés mais qui va au bout de son délire.
Superbes dessins du rare J.G Jones en passant.


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7 bébés nés de femmes qui ne présentaient pas de signes de grossesses sont adoptés par le professeur Hargreeves dans le but de "sauver le monde".
Après des années à jouer les justiciers en culottes courtes, les chemins des membres de cette Académie se séparent; certains continuent leurs carrières, d'autres disparaissant purement et simplement.
La mort de Hargreeves et l'imminence d'une fin du monde annoncée oblige les frères et sœurs à se réunir à nouveau.

Premier boulot bd de Gérard Way du groupe My Chemical Romance, qui impose aisément son univers entre gothisme-romantique et délire steampunk.
Way à également su s'entourer avec le brésilien Gabriel Ba aux dessins. L'artiste déjà responsable du magnifique Casanova qui se rapproche ici un peu d'un Mignola.
Cerise sur le gâteau: les couvertures sont signées James Jean, connu pour ses superbes illustrations pour Fables.
Une très bonne surprise !

Posté : 31.07.2008 - 23:34
par peter wonkley
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"Les Zombies made in Marvel affrontent le célèbre Ash de L'Armée des Ténèbres ! Ce dernier a déjà combattu des hordes de morts vivants, mais jamais au cœur d'une ville comme New York assaillie par ces sinistres créatures." Découvrez la mini-série complète Marvel Zombies : Army of Darkness écrite par John Layman (Gambit) et illustrée par Fabiano Neves, Fernando Blanco et Sean Phillips. Les couvertures originales et la biographie des auteurs complètent le programme.

Posté : 01.08.2008 - 10:56
par The DeathScythe
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Deuxieme round entre les exorcistes et les descendants de Noé: cette fois ci les adversaires sont des jumeaux pistoleros bien barges.
Sympatoche.

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(la Vf sort rapidement et à prix sympa, autant aider les éditeurs français...)

Ca commence comme 28 jours plus tard mais très vite ca prend une toute autre direction !

Posté : 06.08.2008 - 17:34
par creepers
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Du mythique barbare je ne connaissais que le chef d'oeuvre de Milius, la découverte de l'oeuvre de Robert E. Howard est un pur bonheur, l'univers installé est passionant et on plonge direct dans ce monde ou reigne le cimmérien.
J'en suis à "la tour de l'éléphant" pour le moment et j'ai particulièrement apprécié "la fille du géant du gel" qui nous fait traverser des pleines enneigées sublimes.

Monumental :D

Posté : 06.08.2008 - 18:20
par Le Cancre
Creepounet, tu vas adorer la période "Amra, le Lion"...

deux petites séries cools !

Posté : 06.08.2008 - 20:54
par The DeathScythe
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Daniel Rand, l'héritier du Poing de Fer et champion de la mystique cité de K'un-Lun vit des heures difficiles: son entreprise est sous la menace d'une OPA chinoise et son pouvoir connait de sérieuses défaillances.
Il va découvrir qu'il était loin d'avoir saisi tout ce que représente le titre d'Iron Fist.
Une relance réussie pour un personnage un peu en retrait chez Marvel avec une ambiance proche du Daredevil de Bendis mais matinée d'une bonne louche de Wu-Xia-Pian, orchestrée par l'étoile montante Matt Fraction (Casanova !) et illustrée par l'espagnol David Aja dans son premier gros boulot pour l'éditeur.
Classe !

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Pourchassés par les autorités, les jeunes héritiers des anciens maitres du crime de L.A n'ont plus d'autre choix que de demander de l'aide au Caïd.
Celui-ci, par respect pour feu les diaboliques géniteurs des ados, accepte de leur fournir un toit en échange d'un petit casse de rien du tout.
Par un fâcheux concours de circonstances, les Fugitifs se retrouvent au début du 20eme siècle en plein "Gangs of New York" de Super-Humains !

Le créateur de Buffy et Firefly était assez attendu sur un titre qui lui devait énormément selon son auteur originel; le résultat est un peu décevant avec un run assez court (six épisodes avec des retards monstrueux -vive le format album donc !- ), un scenario assez basique et un dessin passe-partout. Restent les excellents dialogues coutumiers du scénariste et une belle galerie de nouveaux personnages originaux.
Pas mal mais loin des épisodes signés Vaughan !

Re: deux petites séries cools !

Posté : 07.08.2008 - 02:39
par Le Cancre
The DeathScythe a écrit : Il va découvrir qu'il était loin d'avoir saisi tout ce que représente le titre d'Iron Fist.
Mais Peter Wonkley, lui, a tout compris !... :mrgreen:

Posté : 07.08.2008 - 19:03
par dino VELVET
C'est pour quand le troisième volume chez Bragelonne ?

Dino, qui attend un coffret :)

Posté : 16.08.2008 - 19:48
par peter wonkley
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Présentation de l’éditeur
Cinq ans après l’éblouissant Glamorama, Bret Easton Ellis change de registre et se met en scène pour devenir le personnage central de Lunar Park.

On se souvient des personnages décadents Patrick Bateman (American Psycho) et Victor Ward (Glamorama), des paradis artificiels, de la gloire et de la violence qui étaient au cœur de leurs expériences. Comme s’il s’agissait d’écarter une réputation sulfureuse, mêlant ses propres souvenirs, ses démons et les personnages qui peuplent ses précédents textes, Ellis décide avec Lunar Park d’incarner lui-même un homme marié, père de famille, vivant dans une immense propriété du comté de Midland. En définitive, une vie bourgeoise partagée entre le centre commercial le samedi après-midi, les séances chez une thérapeute pour couples et les dîners entre voisins. Un revirement comique qui se transforme en cauchemar. Le narrateur, Bret Easton Ellis, pense que les madeleines de Proust sont des mandarines, que sa maison d’Elsinore Lane est hantée, que le spectre est son père mort et peut-être aussi le héros assassin d’American Psycho, qu’il doit retrouver la simplicité des phrases de son premier roman… Un rêve halluciné et jubilatoire qui mêle autobiographie et visions stupéfiantes : Bret Easton Ellis se joue avec humour et virtuosité du mythe de l'écrivain pour écrire un roman puissant et magistralement maîtrisé. Lunar Park paraît quasi simultanément aux États-Unis, en Angleterre et en France. L’auteur sera présent en France au moment de la sortie du livre.

Biographie de l'auteur
Bret Easton Ellis est né à Los Angeles en 1964. Dès la publication de son premier livre Moins que zéro, en 1985, il a connu un succès foudroyant et s'est imposé comme l'un des écrivains majeurs de sa génération. Suivront Les Lois de l'attraction, American Psycho, Zombies, Glamorama. Traduite dans le monde entier, adaptée au cinéma, son œuvre est l'une des plus significatives de la littérature contemporaine.

Posté : 18.08.2008 - 23:05
par peter wonkley
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Posté : 19.08.2008 - 01:06
par peter wonkley
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Posté : 21.08.2008 - 12:55
par creepers
peter wonkley a écrit :Image

Présentation de l’éditeur
Cinq ans après l’éblouissant Glamorama, Bret Easton Ellis change de registre et se met en scène pour devenir le personnage central de Lunar Park.

On se souvient des personnages décadents Patrick Bateman (American Psycho) et Victor Ward (Glamorama), des paradis artificiels, de la gloire et de la violence qui étaient au cœur de leurs expériences. Comme s’il s’agissait d’écarter une réputation sulfureuse, mêlant ses propres souvenirs, ses démons et les personnages qui peuplent ses précédents textes, Ellis décide avec Lunar Park d’incarner lui-même un homme marié, père de famille, vivant dans une immense propriété du comté de Midland. En définitive, une vie bourgeoise partagée entre le centre commercial le samedi après-midi, les séances chez une thérapeute pour couples et les dîners entre voisins. Un revirement comique qui se transforme en cauchemar. Le narrateur, Bret Easton Ellis, pense que les madeleines de Proust sont des mandarines, que sa maison d’Elsinore Lane est hantée, que le spectre est son père mort et peut-être aussi le héros assassin d’American Psycho, qu’il doit retrouver la simplicité des phrases de son premier roman… Un rêve halluciné et jubilatoire qui mêle autobiographie et visions stupéfiantes : Bret Easton Ellis se joue avec humour et virtuosité du mythe de l'écrivain pour écrire un roman puissant et magistralement maîtrisé. Lunar Park paraît quasi simultanément aux États-Unis, en Angleterre et en France. L’auteur sera présent en France au moment de la sortie du livre.

Biographie de l'auteur
Bret Easton Ellis est né à Los Angeles en 1964. Dès la publication de son premier livre Moins que zéro, en 1985, il a connu un succès foudroyant et s'est imposé comme l'un des écrivains majeurs de sa génération. Suivront Les Lois de l'attraction, American Psycho, Zombies, Glamorama. Traduite dans le monde entier, adaptée au cinéma, son œuvre est l'une des plus significatives de la littérature contemporaine.
je l'ai adoré ce livre ! :D

Posté : 22.08.2008 - 11:53
par creepers
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Terrible !!! Jason à son meilleurs :metal:

pas encore lu le volume sur le Joker.

Posté : 22.08.2008 - 15:12
par The DeathScythe
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Une sélection d'histoires du célèbre Caped Crusader à travers les âges:
Si le style change souvent du tout au tout entre le personnage pulp des années 40 qui n'hésite pas à tuer, le super-héros kitch des 50's/60's avec Aliens et machines étranges ou le détective gothique des années 70/90; on y retrouve néanmoins des thèmes récurrents comme le traumatisme originel du jeune Bruce Wayne ou la mise en danger du pauvre Robin et la culpabilité de son tuteur...

Dans les curiosités: un épisode sous forme de nouvelle illustrée, un pastiche de Citizen Kane et l'aventure délirante de Batman Jones: un gamin baptisé ainsi par ses parents en hommage au justicier qui leur à sauvé la vie !


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Alors que la chance semble enfin sourire aux groupe de survivants avec leur arrivée dans une planque sure, la nature humaine de chacun reprendra le dessus avec des consequences desastreuses !

Toujours maitrisé, du comic book digne des bons Romero...