8/10 pour Podium donccreepers a écrit :Un festival Benoît Pelvoorde, il est comme d'habitude exellent et il tient presque à lui seul le film sur les épaules. Les dialogues sont exellents et font toujours mouche !
Pour un premier film, BRAVO !
8/10![]()
Le Classement Définitif Dvdattitude 2004 !!
Modérateur : dino VELVET
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21 grammes : 8.5/10 (une bonne claque)
frère des ours : 7.5/10 (excellent disney)
blueberry : 5.5/10 (mmfff...)
Peter Pan : 4/10 (déçu ... l'histoire est certes fidèle, mais ya rien pour faire décoller le film)
Gothika : 6.5/10 (bon coup de flippe!)
Out of time : 5/10 (vu, revu ,deja revu, presque vu, encore revu...)
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Inquiétudes :
intrigué par le score flatteur qu'il affiche sur Allociné, mais échaudé par une bande-annonce qui augurait d'un mauvais polar, la curosité m'a qd meme poussée à aller le voir. Apres tout, j'aurais pu passer a cote d'un chef d'oeuvre... Verdict : ce film est en bois d'arbre. (c) Wonkley
Entre l'artiste raté psychotiques aux pulsions meurtrieres, la psychiatre névrosée et paranoiaque, et la fifille nunuche, franchement... le téléscopage des histoires respectives des deux personnages est d'une artificialité sans limites, pour au final nous donner un salmigondis bizarre où se mêlent obessions "artistique" et névrose paranoiaque.
Le real doit aimer les chambranles et les passements de portes, parce que la moitié du film est cadrée avec un bout de mur dans le champ, comme qq'un qui se cache pour épier et ne voit que d'un oeil la scene qui se deroule devant lui. Certains passages sont cependants sympa avec qqes plans sequences pas ininteressants.
De plus, j'ai beau bcp aimer le beton, l'obsession du mec pour les pieces toutes blanches depouillées est un leitmotiv un peu facile et trop artificiel (sans avoir été jamais justifié de plus).
Bref, c'est long... long... treeeesss long... trop long. parsemés de passages corrects au mieux (les actrices ne s'en sortent pas trop mal, Gregoir Colin mbluarf), mais generalement chiants et abscons. On se demande pourquoi tant de haine, où le real veut en venir, et au final, on se fait un peu avoir sur la marchandise.
J'etais parti avec des esperances modérées, elles se seront faites étouffées manu militari, ce qui fait que le film se récolte un bon
3/10 (film 100% en bois d'arbre)
PS : la musique, omniprésente et pénible, ne vient pas arranger la sauce, bien au contraire...
intrigué par le score flatteur qu'il affiche sur Allociné, mais échaudé par une bande-annonce qui augurait d'un mauvais polar, la curosité m'a qd meme poussée à aller le voir. Apres tout, j'aurais pu passer a cote d'un chef d'oeuvre... Verdict : ce film est en bois d'arbre. (c) Wonkley
Entre l'artiste raté psychotiques aux pulsions meurtrieres, la psychiatre névrosée et paranoiaque, et la fifille nunuche, franchement... le téléscopage des histoires respectives des deux personnages est d'une artificialité sans limites, pour au final nous donner un salmigondis bizarre où se mêlent obessions "artistique" et névrose paranoiaque.
Le real doit aimer les chambranles et les passements de portes, parce que la moitié du film est cadrée avec un bout de mur dans le champ, comme qq'un qui se cache pour épier et ne voit que d'un oeil la scene qui se deroule devant lui. Certains passages sont cependants sympa avec qqes plans sequences pas ininteressants.
De plus, j'ai beau bcp aimer le beton, l'obsession du mec pour les pieces toutes blanches depouillées est un leitmotiv un peu facile et trop artificiel (sans avoir été jamais justifié de plus).
Bref, c'est long... long... treeeesss long... trop long. parsemés de passages corrects au mieux (les actrices ne s'en sortent pas trop mal, Gregoir Colin mbluarf), mais generalement chiants et abscons. On se demande pourquoi tant de haine, où le real veut en venir, et au final, on se fait un peu avoir sur la marchandise.
J'etais parti avec des esperances modérées, elles se seront faites étouffées manu militari, ce qui fait que le film se récolte un bon
3/10 (film 100% en bois d'arbre)
PS : la musique, omniprésente et pénible, ne vient pas arranger la sauce, bien au contraire...
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Et moi je rajoute :mercury1er a écrit :Podium 7 / 10
Blueberry : 7/10 Des paysages magnifique, un vincent cassoulet de toute beauté mais un film qui part un peu en vrille

La mort suspendue : 8/10 Magnifique reconstitution de 2 grands gaillard parce que ce qu il ont fait ....




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Tout peut arriver (Something's gotta give) : 7/10, comédie sympathique, avec un duo Keaton/Nicholson assez jouissif, toutefois un peu longuet, at ça ne s'envole pas vraiment... j'avais préféré Ce que veulent les femmes...
Les rivieres pourpres 2, Les anges de l'Apocalypse : 7/10, e l'ai trouvé nettement mieux que le 1er du nom, plus d'action, mais bon ils ont un peu trop utilisé les yamakasi à mon goût
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"Je vis tellement au dessus de mes revenus, qu'en vérité nous menons, eux et moi, une existence entièrement séparée." - O. Wilde
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Buongiorno, notte :
Je suis très loin d'etre un spécialiste de l'histoire contemporaine italienne, et les Brigade Rouges ne font résonner en moi aucune image de terreur particulière. Mais ce film, qui raconte l'enlevement et l'assassinat d'un homme d'état italien ayant eu un rôle fondamental dans la vie politique italienne de la fin des années 70, est en tous points remarquable.
Alimentant la fiction-reconstitution par les archives télévisées de l'affaire, l'auteur nous convie/convoque à une réflexion politique , à un huis-clos (même si toute l'action ne se déroule pas exclusivement dans l'appartement où le prisonnier est détenu, mais l'essentiel survient là bas) assez bouleversant où une jeune militante perd ses certitudes sur le "combat" qu'elle mène, sur son engagement et ce qu'elle est prête à sacrifier au nom d'une utopie, tandis qu'autour d'elle, chacun s'enfonce dans ses certitudes, son aveuglement fanatique, ou la résignation du condamné à mort.
Qqes passages sont magnifiques, notamment celui où Chiara "lit" un lettre d'un résistant condamné à mort pdt la guerre, ou le repas de famille, partagé entre bigoterie italienne et communisme héroique contre Mussolini.
Ca va peut etre paraitre bizarre, mais c'est passionnant à suivre, surtout à l'heure où une nouvelle forme de terrorisme a vu le jour...
8.5/10
Je suis très loin d'etre un spécialiste de l'histoire contemporaine italienne, et les Brigade Rouges ne font résonner en moi aucune image de terreur particulière. Mais ce film, qui raconte l'enlevement et l'assassinat d'un homme d'état italien ayant eu un rôle fondamental dans la vie politique italienne de la fin des années 70, est en tous points remarquable.
Alimentant la fiction-reconstitution par les archives télévisées de l'affaire, l'auteur nous convie/convoque à une réflexion politique , à un huis-clos (même si toute l'action ne se déroule pas exclusivement dans l'appartement où le prisonnier est détenu, mais l'essentiel survient là bas) assez bouleversant où une jeune militante perd ses certitudes sur le "combat" qu'elle mène, sur son engagement et ce qu'elle est prête à sacrifier au nom d'une utopie, tandis qu'autour d'elle, chacun s'enfonce dans ses certitudes, son aveuglement fanatique, ou la résignation du condamné à mort.
Qqes passages sont magnifiques, notamment celui où Chiara "lit" un lettre d'un résistant condamné à mort pdt la guerre, ou le repas de famille, partagé entre bigoterie italienne et communisme héroique contre Mussolini.
Ca va peut etre paraitre bizarre, mais c'est passionnant à suivre, surtout à l'heure où une nouvelle forme de terrorisme a vu le jour...
8.5/10
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Mona Lisa Smile : bon ben voilà, je suis content, je l'ai vu... Résultat... bof bof... J'irais pas jusqu'à dire que c'est une bouse, passke ca serait un peu facile, et que j'aime pas trop descendre en flammes, mais il y a qd meme des relents de navets qui flottent. Ou du moins des vapeurs de ratage. Alors qu'on pouvait avoir qqch de vraiment chouette, on se récupère une histoire un peu mi-figue mi-chamallow.
C'est trop tiédasse, trop guimauve... trop long aussi (enlevez moi une bonne demie-heure et ca aurait paru deja nettement moins indigeste). Julia Roberts déploie son charme habituel devant une collection de pimbêches qui ont autant de libre arbitre d'une moule attachée à son poteau, et meme si la mecanique suit sont cours naturellement, tout reste trop policé pour vraiment soulever l'émotion. C'est clair qu'on est a des années lumières de la subtilité, du charme, du lyrisme flamboyant du Cercle des Poètes Disparus, qui avait lui le courage d'aller au bout de ses idées.
On assiste quand meme à qqes moment d'effroi pur : le mariage en grandes pompes, le couple lave-linge/sèche-linge flambant neuf, les papiers peints de la chambre d'hote tenue par Marcia Gay Harden (impeccable une fois de plus dans une second role ingrat, en vieille fille prof de maintient qui se prend une bonne grosse mine des familles lors du mariage). On a droit à un portrait certainement fidele de la condition féminine de l'époque, mais tout cela reste beaucoup trop "clean".
Je vous épargne le couplet sur la libération des esprits par l'art pictural, ca serait trop inhumain. Mais j'avoue qd meme que le passage avec le tableau de Jackson Pollock était sympa. Ou comment faire comprendre à un bataillon de pétasses qu'il faut du génie pour jeter de la peinture sur un bout de toile de cette manière, et que oui, putain, c'est beau.
Par contre, ma séance a été completement ruinée par le CONNNAAAAARD qui était derriere moi, qui a passé DEEUUX HEEUUURES a se croire dans son canapé et a balancer un commentaire toutes les DEUX MINUTES. J'ai eu quoi... trois ou quatre instants de répit en tout et pour tout. Pénible. Je lui aurai volontiers fracassé le crâne avec l'accoudoir avec un rire sadique, histoire de lui apprendre les bonnes manières, mais ca aurait ete lui faire trop d'honneur.
4/10
C'est trop tiédasse, trop guimauve... trop long aussi (enlevez moi une bonne demie-heure et ca aurait paru deja nettement moins indigeste). Julia Roberts déploie son charme habituel devant une collection de pimbêches qui ont autant de libre arbitre d'une moule attachée à son poteau, et meme si la mecanique suit sont cours naturellement, tout reste trop policé pour vraiment soulever l'émotion. C'est clair qu'on est a des années lumières de la subtilité, du charme, du lyrisme flamboyant du Cercle des Poètes Disparus, qui avait lui le courage d'aller au bout de ses idées.
On assiste quand meme à qqes moment d'effroi pur : le mariage en grandes pompes, le couple lave-linge/sèche-linge flambant neuf, les papiers peints de la chambre d'hote tenue par Marcia Gay Harden (impeccable une fois de plus dans une second role ingrat, en vieille fille prof de maintient qui se prend une bonne grosse mine des familles lors du mariage). On a droit à un portrait certainement fidele de la condition féminine de l'époque, mais tout cela reste beaucoup trop "clean".
Je vous épargne le couplet sur la libération des esprits par l'art pictural, ca serait trop inhumain. Mais j'avoue qd meme que le passage avec le tableau de Jackson Pollock était sympa. Ou comment faire comprendre à un bataillon de pétasses qu'il faut du génie pour jeter de la peinture sur un bout de toile de cette manière, et que oui, putain, c'est beau.
Par contre, ma séance a été completement ruinée par le CONNNAAAAARD qui était derriere moi, qui a passé DEEUUX HEEUUURES a se croire dans son canapé et a balancer un commentaire toutes les DEUX MINUTES. J'ai eu quoi... trois ou quatre instants de répit en tout et pour tout. Pénible. Je lui aurai volontiers fracassé le crâne avec l'accoudoir avec un rire sadique, histoire de lui apprendre les bonnes manières, mais ca aurait ete lui faire trop d'honneur.
4/10
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Tout peut arriver : Nancy Meyers nous revient (pure façon de parler. j'aurais tres bien pu dire qu'elle redeboulait avec ses gros sabots, mais ca n'aurait pas ete tres aimable de ma part) avec une comédie sentimentale affichant un duo de choc : Diane Keaton (radieuse) vs Jack Nicholson (gras double).
Verdict ? Ben moi j'ai bien rigolé. Voilà. C'est tout.
Oui, c'est constructif comme avis. Je vous merde d'abord.
Bon plus sérieusement, là encore, y'a du bon, voire meme du très très bon, et du moins bon. Le numéro de ping pong auquel se livrent les deux acteurs est assez jouissif. Ils s'en donnent visiblement à coeur joie, et si Nicholson a beau nous faire son numéro désormais habituel de vieux singe bourru au coeur tendre, Diane Keaton lui vole la vedette.
Certains passages sont purement hilarants, notamment la scene où ils s'envoyent en l'air, mais ce n'est pas la seule scène où on rit de bon coeur. Cependant, il y a qd meme une bonne grosse platrée de passages là encore purement guimauve. Je n'arrive pas à savoir si la réalisatrice s'est auto-brimée en collant des passages purement premier degrés dégoulinants de bon sentiments bien moralisateurs ou si elle s'auto-parodie elle-même. On nage dans le burlesque décomplexé et franchement drole par moments, et tout de suite après, plaf, une truellée de guimauverie bon marché.
Là encore je fais l'impasse sur le final romantique à Paris, où Jack Nicholson réussit qd meme à aller du Palais Royal à l'Hôtel de Ville en passant par la Place des Vosges en 5 minutes chrono, à pied de surcroît (un record du monde qui sera difficile à battre), et qui a bien fait rigoler le public dans la salle. Faudra aussi avertir les amerlocs que Paris ne se résume pas au Georges V, au Crillon, au Plazza Athénée et à de la musique à l'accordéon.
Donc pour resumer, une comédie où on rigole de bon coeur, en offrant un duo d'acteurs parfait, mais qui refuse à aller là où elle devrait aller, car encombrée de bons sentiments.
6,5/10
Verdict ? Ben moi j'ai bien rigolé. Voilà. C'est tout.
Oui, c'est constructif comme avis. Je vous merde d'abord.
Bon plus sérieusement, là encore, y'a du bon, voire meme du très très bon, et du moins bon. Le numéro de ping pong auquel se livrent les deux acteurs est assez jouissif. Ils s'en donnent visiblement à coeur joie, et si Nicholson a beau nous faire son numéro désormais habituel de vieux singe bourru au coeur tendre, Diane Keaton lui vole la vedette.
Certains passages sont purement hilarants, notamment la scene où ils s'envoyent en l'air, mais ce n'est pas la seule scène où on rit de bon coeur. Cependant, il y a qd meme une bonne grosse platrée de passages là encore purement guimauve. Je n'arrive pas à savoir si la réalisatrice s'est auto-brimée en collant des passages purement premier degrés dégoulinants de bon sentiments bien moralisateurs ou si elle s'auto-parodie elle-même. On nage dans le burlesque décomplexé et franchement drole par moments, et tout de suite après, plaf, une truellée de guimauverie bon marché.
Là encore je fais l'impasse sur le final romantique à Paris, où Jack Nicholson réussit qd meme à aller du Palais Royal à l'Hôtel de Ville en passant par la Place des Vosges en 5 minutes chrono, à pied de surcroît (un record du monde qui sera difficile à battre), et qui a bien fait rigoler le public dans la salle. Faudra aussi avertir les amerlocs que Paris ne se résume pas au Georges V, au Crillon, au Plazza Athénée et à de la musique à l'accordéon.
Donc pour resumer, une comédie où on rigole de bon coeur, en offrant un duo d'acteurs parfait, mais qui refuse à aller là où elle devrait aller, car encombrée de bons sentiments.
6,5/10
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du tres bon mais aussi du tres limite... opinion mitigée donc
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Retour à Cold Mountain (6/10) : Loin d'etre le nouveau "Autant en emporte le vent" cette saga cecessioniste au lyrisme emprunté se suit sans déplaisir mais aussi sans passion. Malgré une Kidman rayonnante de beauté et une Renée Zellweger très nature il manque résolument d'émotion dans cette fresque ultraformatée ou seule Nathalie Portman s'en sort véritablement.
P.S: Ce serait bien, en sus du classement officiel de + de 5 titres, de lister sur le premier topic les titres qui sont susceptibles d'y entrer, cela permettrait de connaitre les titres qui ont au moins une note dans le fil
P.S: Ce serait bien, en sus du classement officiel de + de 5 titres, de lister sur le premier topic les titres qui sont susceptibles d'y entrer, cela permettrait de connaitre les titres qui ont au moins une note dans le fil
- snake_7
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Hum ... pourquoi pas.... j' vais y réflechirkarras a écrit :P.S: Ce serait bien, en sus du classement officiel de + de 5 titres, de lister sur le premier topic les titres qui sont susceptibles d'y entrer, cela permettrait de connaitre les titres qui ont au moins une note dans le fil



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