Hum, mouais …
Je suis partagé.
D’un côté, Josh Trank va au bout de son concept : nous montrer la décrépitude d’une icône du crime au crépuscule de sa vie.
On assistera donc, par le menu, à la déchéance d’un Fonzo (titre original nettement plus pertinent) qui se fait dessus et sombre dans la démence, conséquences de sa maladie (la neurosyphilis).
D’un autre côté, on est en droit de se demander si un tel concept, intéressant en soi, avait de quoi alimenter un long-métrage entier
En effet, j’ai trouvé que le film avait tendance à tourner un peu en rond, à reproduire encore et toujours les mêmes situations.
On se lasse des bougonneries permanentes de ce personnage en déclin (même si Tom Hardy assure dans ce rôle ingrat et donc courageux).
A l’arrivée : moyen pour moi.