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Mon Nom est Personne - Studio Canal - 03/10/2005
Posté : 10.10.2005 - 23:58
par Pp79
Disque 1 : Le film
Nouveau master entièrement restauré : VF,VA,VI + sous-titres
Commentaire audio de Tonino Valerii
Disque 2 : Les suppléments
Documentaire : Nobody... is perfect (55min)
Documentaire : Tonino Valerii et le western (12min)
Documentaire : Autour de Sergio Leone (50min)
Fin alternative
Galerie de photos
Bandes-annonces des westerns de Tonino Valerii
Livret collector
4 cartes postales
Posté : 10.10.2005 - 23:59
par Pp79
on peut etre à la fois un génie et un gros con...
Posté : 11.10.2005 - 10:27
par The DeathScythe
Oui si on en croit ses différents collaborateurs italiens Leone était un chieur de 1ere catégorie et d'une prétention rare, ce qui est limite confirmé par la lecture de ses interviews...
Tu confirmes que l'edition est fabuleuse ?
Posté : 11.10.2005 - 12:11
par Martin K
Franchement tentant, ça !
Leone un enfoiré de première ? On va dire que c'est le propre des génies.

Re: on peut etre à la fois un génie et un gros con...
Posté : 11.10.2005 - 16:20
par Pp79
The DeathScythe a écrit :
Tu confirmes que l'edition est fabuleuse ?
Master image nickel, d'une beauté surprenante seule la scène où Personne raconte l'histoire de l'oisillon est un peu fatiguée (je dramatise bien sûr).
Son nickel, mis à tape hier à 11h00 du soir.

Pas un seul bug de compression.
ACHAT OBLIGATOIRE !
Re: on peut etre à la fois un génie et un gros con...
Posté : 11.10.2005 - 20:50
par creepers
The DeathScythe a écrit :Oui si on en croit ses différents collaborateurs italiens Leone était un chieur de 1ere catégorie et d'une prétention rare, ce qui est limite confirmé par la lecture de ses interviews...

Ce qui m'avais le plus choqué c'est d'apprendre qu'il n'avait presque pas de culture et certains disent même qu'il ne savait pas lire !

Posté : 11.10.2005 - 21:51
par The DeathScythe
La c'est quand même beaucoup plus sujet à caution, il vient d'une famille d'artistes et à baigné très tôt dans le milieu culturel local, c'est un élève doué (mais partisan du moindre effort) et il se passionne assez vite pour la littérature et le cinéma...
Je pense que c'était plus un enfoiré qu'un imbecile heureux...

Posté : 11.10.2005 - 22:13
par Pp79
C'est exactement, ce que dit Valeri : "C'est un vrai fils de pute, un salopard !"

droit de reponse du maccabée
Posté : 11.10.2005 - 22:22
par The DeathScythe
Leone à propos de Valerii:
"Ce garçon n'avait jamais rien fait dans le cinéma avant de travailler avec moi. Il craignait le soleil, il ne savait pas courir.
alors je lui ai dit qu'il fallait mieux qu'il devienne metteur en scène, après tout, n'importe qui faisait des westerns, pourquoi pas lui ?
Il est intelligent et cultivé, il est devenu un réalisateur correct ; sans génie mais avec beaucoup d'honnêteté.
Mon nom est personne est un film assez réussi..."
Posté : 11.10.2005 - 22:33
par Pp79
Oui, c'est vraiment un salaud ce Leone

JJK Faut que tu écoutes ce commentaire audio, tu vas halluciner

Posté : 12.10.2005 - 00:32
par The DeathScythe
Des que je reçois la bestiole je me l'ecoute avec du Pop-Corn et de l'Oasis...

Posté : 12.10.2005 - 20:05
par creepers
ah au fait je l'ai jamais vu
Mais je vais me chopper l'édition qui semble sublime en tout cas !

Posté : 12.10.2005 - 22:22
par Pp79
Putain laisse tomber deux secondes le turc et mate vite fait ça

Posté : 13.10.2005 - 12:16
par peter wonkley
HHHHHHHOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUU !!!!!!!!! HHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!
Posté : 21.11.2005 - 11:32
par Martin K
UP !
Bon, revu hier après l'avoir vu étant tout gamin, ce qui, mine de rien, doit me ramener facile 15-20 en arrière (

). Je n'avais pas vraiment de souvenir, sauf du nain à échasses, ça avait dû me marquer, ce truc.
Comment analyser ce film ? Il me semble telemment inclassable. Un western, certes, mais un drôle de western, genre de récit initiatique entre un petit garçon devenu grand mais qui refuse de grandir, et un vieux pistolero désabusé qui veut juste en finir. Fonda pourrait être le père rêvé de Hill. Un père qui aimerait bien dire à ce sale gamin d'aller se faire foutre, mais qui n'ose pas et se sent obligé de lui donner satisfaction.
Je sais pas, c'est une hypothèse. Mais j'ai beaucoup aimé voir ce film comme le western décalé qu'il est, la fin d'un genre sur la fin d'un siècle. Je préfère les "spaghetti classique", mais j'aime tout de même beaucoup celui-là, plutôt moderne, assez absurde sur le fond, très original sur la forme. On a juste l'impression que, Morricone compris, ils se sont juste amusés à prendre un genre pour mieux le dynamiter. Et c'est réussi.
"Et surtout, quand tu es dans la merde, tais-toi !"
