Cashback (Sean Ellis - 2007)
Modérateur : dino VELVET
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Cashback (Sean Ellis - 2007)
Ben Willis , étudiant aux Beaux-Arts, se fait plaquer par sa petite amie Suzy. Devenu insomniaque suite à cette rupture, il se met à travailler de nuit au supermarché du coin. Là, il fait la connaissance de quelques personnages hauts en couleur qui cultivent, chacun à sa manière, l'art de tromper l'ennui pendant les longues heures de travail.
L'art de Ben consiste à imaginer qu'il suspend le temps, ce qui lui permet d'apprécier la beauté du monde "en mode pause" et des êtres qui le peuplent. Il est particulièrement sensible au charme de Sharon, la discrète caissière qui détient peut-être la clé de ses insomnies.
Sortie en salles le 17 Janvier.
Site off : http://www.cashback-lefilm.com/
Prermière attente ciné pour 2007 !
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Vu il y a quelques jours.
Cashback fait parti de ces films qui se déguste avec plaisir, à l' image d' une glace en été, rafraichissante, sucrée, agréable et légère. Lorsqu' on arrive à la fin du cornet on se dit qu' on a bien fait de dépenser son argent pour un moment détente honnète et savement composé.
Avec comme toile de fond l' ennui, le réalisateur nous fait partager son amour pour l' instant, ce moment que cherche tout photographe, ces quleque minutes voir secondes que le commun des mortels ne voit pas, trop pressé par la vie. Il dévoile également sa passion pour les corps, pour les femmes en particulier qu' il dessine avec tendresse.
Avec une mise en scène aéré, Sean Ellis parvient pour son premier film à servir un métrage original, mélancolique, tendre, amoureux et drôle et même si cela manque un peu d' épaisseur il serait dommage de boudé ce film qui laisse présager le meilleur pour la suite
Note : 7.5/10
Cashback fait parti de ces films qui se déguste avec plaisir, à l' image d' une glace en été, rafraichissante, sucrée, agréable et légère. Lorsqu' on arrive à la fin du cornet on se dit qu' on a bien fait de dépenser son argent pour un moment détente honnète et savement composé.
Avec comme toile de fond l' ennui, le réalisateur nous fait partager son amour pour l' instant, ce moment que cherche tout photographe, ces quleque minutes voir secondes que le commun des mortels ne voit pas, trop pressé par la vie. Il dévoile également sa passion pour les corps, pour les femmes en particulier qu' il dessine avec tendresse.
Avec une mise en scène aéré, Sean Ellis parvient pour son premier film à servir un métrage original, mélancolique, tendre, amoureux et drôle et même si cela manque un peu d' épaisseur il serait dommage de boudé ce film qui laisse présager le meilleur pour la suite
Note : 7.5/10
"Le monde est un bel endroit, qui vaut la peine qu'on se batte pour lui,Je suis d'accord avec la seconde partie."
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Cashback, court-métrage primé dans de nombreux festivals ces trois dernières années, se suffisait-il à lui-même ? Efficace, drôle et sexy, il racontait les tribulations d'un jeune londonien embauché de nuit dans une superette Sainsbury's. Insomniaque, il s'y évadait en figeant le temps et les gens pour mieux contempler le monde et la beauté des femmes. De la lumière blanchâtre des néons, de cet espace où il donnait huit heures de son temps, il effeuillait doucement les clientes et les croquait avec un certain talent... Mais en complétant les 17 minutes du court tourné en 2003 pour en faire un long, Sean Ellis ne s'est-il pas trompé ? Le film actuellement en salles est évidemment loin d'être mauvais mais il n'apporte pas grand chose au court, si ce n'est un prologue beaucoup trop long, un développement des différents personnages et une histoire d'amour peu originale.
Cependant l'essence même du film reste son noyau principal, c'est à dire les 17 minutes du court-métrage trônant au milieu du long. Par ses qualités narratives, sa mise en scène, son atmosphère planante et la beauté visuelle de certains de ses plans, cette partie du film est brillantissime. Mais en brodant autour, l'aspect très homogène de l'oeuvre originale laisse place à un mélange des genres pas toujours bien maîtrisé. De ce fait, Cashback a tendance à s'écarter de temps à autres de son concept initial pour devenir une comédie un brin potache. L'humour anglais dont je suis friand n'est pas responsable, par contre certaines séquences soi-disant drôles auraient pu être évitées.
Reste la performance stylistique de l'oeuvre, la photographie et ces femmes d'une beauté so glam ! Celui qui n'a jamais mis les pieds en Angleterre, ne comprendra probablement pas, le culte que nos voisins d'outre-Manche vouent aux playmates et pourra dont être choqué de voir tant de grosses poitrines à l'écran. Mais les Keely Hazeel, Hayley-Marie Coppin, Irene Bagach et Janine- Marie Tinsley s'affichent régulièrement à la une des tabloïds les plus lus d'Angleterre... Toutefois, sachez chers lecteurs que ce film est avant tout une ode à la beauté féminine servant la création artistique de l'étudiant en question. Cashback n'est-il pas justement le premier film d'un ancien photographe de mode ? Une chose est néanmoins certaine, si le court-métrage est bourré de qualités, sa version longue si sympathique et délicieuse soit-elle, s'oublie assez vite.
Bonus :
Le court métrage (17'42) : http://www.dailymotion.com/visited/sear ... ack-vostfr
Haley Marie Coppin (1'04) : http://www.wideo.fr/video/iLyROoaftZtG.html
Cependant l'essence même du film reste son noyau principal, c'est à dire les 17 minutes du court-métrage trônant au milieu du long. Par ses qualités narratives, sa mise en scène, son atmosphère planante et la beauté visuelle de certains de ses plans, cette partie du film est brillantissime. Mais en brodant autour, l'aspect très homogène de l'oeuvre originale laisse place à un mélange des genres pas toujours bien maîtrisé. De ce fait, Cashback a tendance à s'écarter de temps à autres de son concept initial pour devenir une comédie un brin potache. L'humour anglais dont je suis friand n'est pas responsable, par contre certaines séquences soi-disant drôles auraient pu être évitées.
Reste la performance stylistique de l'oeuvre, la photographie et ces femmes d'une beauté so glam ! Celui qui n'a jamais mis les pieds en Angleterre, ne comprendra probablement pas, le culte que nos voisins d'outre-Manche vouent aux playmates et pourra dont être choqué de voir tant de grosses poitrines à l'écran. Mais les Keely Hazeel, Hayley-Marie Coppin, Irene Bagach et Janine- Marie Tinsley s'affichent régulièrement à la une des tabloïds les plus lus d'Angleterre... Toutefois, sachez chers lecteurs que ce film est avant tout une ode à la beauté féminine servant la création artistique de l'étudiant en question. Cashback n'est-il pas justement le premier film d'un ancien photographe de mode ? Une chose est néanmoins certaine, si le court-métrage est bourré de qualités, sa version longue si sympathique et délicieuse soit-elle, s'oublie assez vite.
Bonus :
Le court métrage (17'42) : http://www.dailymotion.com/visited/sear ... ack-vostfr
Haley Marie Coppin (1'04) : http://www.wideo.fr/video/iLyROoaftZtG.html