Eden Log - Franck Vestiel (2007)
Modérateur : dino VELVET
Eden Log - Franck Vestiel (2007)
Un homme reprend conscience au fin fond d'une grotte. Tolbiac n'a pas la moindre idée des raisons qui l'ont amené jusque-là, pas plus qu'il ne sait ce qui est arrivé à l'homme dont il découvre le cadavre à côté de lui. Seule solution pour échapper à la créature qui le poursuit : remonter jusqu'à la surface à travers un réseau aux allures de cimetière et abandonné par une mystérieuse organisation, Eden Log.
Film de S.F avec Clovis Cornillac, le film est sorti le 26 décembre.
- dino VELVET
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- dino VELVET
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J'en sors et j'ai bien apprécié
Film hermétique mais intéressant
Une pure identité visuelle, d'ailleurs assez éprouvante sur une heure et demie.
Un large faisceau d'influences (du cinéma muet ou jeu vidéo, en passant pas la sage Alien et Tarkovski) bien digérées.
Un film quelque part entre le Tsukamoto de Tetsuo (photo noir et blanc chiadée, gros faible pour le métal et le plastique destroy) et le Natali de Cube (environnement clos et intrigue qui s'éclaire peu à peu).
Un Cornillac assez impressionnnant dans un rôle pas facile.
Une bonne initiative de cinéma de genre, qui pour une fois en France, se solde par une réussite, c'est suffisemment rare pour être souligné.
Film hermétique mais intéressant
Une pure identité visuelle, d'ailleurs assez éprouvante sur une heure et demie.
Un large faisceau d'influences (du cinéma muet ou jeu vidéo, en passant pas la sage Alien et Tarkovski) bien digérées.
Un film quelque part entre le Tsukamoto de Tetsuo (photo noir et blanc chiadée, gros faible pour le métal et le plastique destroy) et le Natali de Cube (environnement clos et intrigue qui s'éclaire peu à peu).
Un Cornillac assez impressionnnant dans un rôle pas facile.
Une bonne initiative de cinéma de genre, qui pour une fois en France, se solde par une réussite, c'est suffisemment rare pour être souligné.
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"
"Il a les yeux blindés"
"Now I've got a machine gun ho ! ho ! ho !"
"Are you gonna bark all day, little doggie, or are you gonna bite ?"
"Il a les yeux blindés"
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- dino VELVET
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Première impression : souvenirs de ces téléfilms de SF belgo-franco-suisso-luxembourgeois des années 70. Même approche narrative, même sobriété dans la mise en scène (mis à part la photographie recherchée et les moyens plus conséquents).
Seconde impression : ho, mais y a tous les codes du jeu video d'aventure (collecte d'objets, interaction avec les bornes d'info, chapitrage en niveaux) et y a un tout p'tit peu de Gordon Freeman dans l'air (sans le pied-de-biche).
Impression confirmée dans les interviews en bonus.
Troisième impression : autant j'estime que l'univers sonore illustre très bien le film, autant le mixage des dialogues (même pour les voix non-déformées) est à chier.
Quatrième impression : la sobriété voulue et nécessaire de la narration mets en valeur le(s) thème(s) du film mais l'épilogue aurait mérité d'être plus étoffé et explicatif. La petite animation informatique façon "Fallout" (encore le jeu video) décrit mais n'explique pas vraiment et la simple voix off me semble bien légére.
Cinquième impression : bien plus inspiré de l'univers graphique de Bilal que de Giger. Ca change.
Conclusion : film intéressant, à mi-chemin du brouillon et de l'esquisse. Plusieurs niveaux, non pas de lecture mais de réflexion.
Intelligent mais pas génial. C'est un premier long-métrage et je le prend comme tel avec, à mes yeux, ses qualités et ses défauts. J'espère que ce sont les prémices du film de genre français qui sort un peu du slasher-gore-qui-tache de ces dernières années.
Seconde impression : ho, mais y a tous les codes du jeu video d'aventure (collecte d'objets, interaction avec les bornes d'info, chapitrage en niveaux) et y a un tout p'tit peu de Gordon Freeman dans l'air (sans le pied-de-biche).
Impression confirmée dans les interviews en bonus.
Troisième impression : autant j'estime que l'univers sonore illustre très bien le film, autant le mixage des dialogues (même pour les voix non-déformées) est à chier.
Quatrième impression : la sobriété voulue et nécessaire de la narration mets en valeur le(s) thème(s) du film mais l'épilogue aurait mérité d'être plus étoffé et explicatif. La petite animation informatique façon "Fallout" (encore le jeu video) décrit mais n'explique pas vraiment et la simple voix off me semble bien légére.
Cinquième impression : bien plus inspiré de l'univers graphique de Bilal que de Giger. Ca change.
Conclusion : film intéressant, à mi-chemin du brouillon et de l'esquisse. Plusieurs niveaux, non pas de lecture mais de réflexion.
Intelligent mais pas génial. C'est un premier long-métrage et je le prend comme tel avec, à mes yeux, ses qualités et ses défauts. J'espère que ce sont les prémices du film de genre français qui sort un peu du slasher-gore-qui-tache de ces dernières années.
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
- dino VELVET
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Pas d'accord du tout sur ce point, pour moi il distille juste ce qu'il faut d'informations et laisse une part d'interprétation au spectateur. C'est pas (complètement) dirigiste, et j'ai bien aimé ça.Le Cancre a écrit :l'épilogue aurait mérité d'être plus étoffé et explicatif.
"If you don't know Jurassic Park, you don't know shit"
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- peter wonkley
- ROCCO
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Les goûts et les couleurs... Moi, je suis du type binaire : je bande ou je bande pas.dino VELVET a écrit :Pas d'accord du tout sur ce point, pour moi il distille juste ce qu'il faut d'informations et laisse une part d'interprétation au spectateur. C'est pas (complètement) dirigiste, et j'ai bien aimé ça.Le Cancre a écrit :l'épilogue aurait mérité d'être plus étoffé et explicatif.
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
Mmmm... Peut-être à cause d'un écran mal calibré (si tu utilises un écran LCD). Film très sombre, pas mal de grain, photo surexposée avec des blancs volontairement brûlés et des noirs très profonds. Exercice délicat pour un écran plat...peter wonkley a écrit :...y a un je ne sais quoi qui nous a pas fait entrer dans le film
je pense que c'est le genre de film a "vivre" au cinéma, pas a la télé
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
Héhé Martin connait bien ses classiques...Martin K a écrit :La bandaison, Papa, ça ne se commande pas.Le Cancre a écrit :Moi, je suis du type binaire : je bande ou je bande pas.
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu)
- le pinsutu en tong
- Natale
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J'ai pas vu le film mais la phrase de première sur l'affiche m'a presque fait rire:
"Une primalité animale qui rappelle les premiers films de Daren Aronosky" (Aranosky qui a 3 films au compteur)
Pas de doute ils ont le sens de la formule. Du coup j'ai envie de voir le film pour savoir de quoi ils parlent.
"Une primalité animale qui rappelle les premiers films de Daren Aronosky" (Aranosky qui a 3 films au compteur)
Pas de doute ils ont le sens de la formule. Du coup j'ai envie de voir le film pour savoir de quoi ils parlent.
You're going to get spoiled!
Ca craint ça, les 2 premiers aronofsky m'ont quand même bien fait chier...le pinsutu en tong a écrit :J'ai pas vu le film mais la phrase de première sur l'affiche m'a presque fait rire:
"Une primalité animale qui rappelle les premiers films de Daren Aronosky" (Aranosky qui a 3 films au compteur)
Pas de doute ils ont le sens de la formule. Du coup j'ai envie de voir le film pour savoir de quoi ils parlent.
Et quand ils vinrent pour moi, il n'y avait plus personne pour crier...
Superflo, toujours là quand il faut!!!
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