bah quoi elle est belle cette affiche !Martin K a écrit :
Angel A - Luc Besson - 2005
Modérateur : dino VELVET
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Zorg
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Oui, elle est tres belle... Sauf qu'on a l'impression que Djamel essaye de lui mettre un doigt dans le culcreepers a écrit :bah quoi elle est belle cette affiche !Martin K a écrit :
Tu parles de Rie Rasmussen là ? Moi je veux bien me porter volontaire si c'est casnake_7 a écrit :Personne n' a tenté le coup ?
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dino VELVET
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Bon, les gars, dès qu'le DVD sort en loc' on chope le Dino, on l'attache à un fauteuil, on lui scotche les paupières grandes ouvertes et on lui passe le film en boucle pendant toute une journée...dino VELVET a écrit :Je mourrai sans jamais avoir vu ce film, devant vous j'en fait le serment.
La pensée profonde du mois : "Avec deux lignes de l'écriture d'un homme on peut faire le procès au plus innocent" (Richelieu) 
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dino VELVET
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Bon alors, kikil'avu ? Moi j'en sors... Et c'est pas brillant.
Je vais faire court passke j'ai pas l'intention d'y épuiser ma salive pendant 3 plombes, mais c'est d'une lourdeur terrifiante
Franchement, y'a rien à sauver à part un plan à 15 millions de dollars de la Concorde et de la Rue de Rivoli désertes, une réplique et une interprétation sobre et correcte de la part des deux acteurs.
Mais alors les flottements dans la mise en scene et surtout l'histoire d'une niaiserie stratosphérique, je suis désolé, j'achete pas. Surtout que C qd meme super interminable pour un film d'1h30
Besson est bel et bien mort. Non pas que ca me chagrine particulierement, C juste que bon voilà quoi...
Je vais faire court passke j'ai pas l'intention d'y épuiser ma salive pendant 3 plombes, mais c'est d'une lourdeur terrifiante
Franchement, y'a rien à sauver à part un plan à 15 millions de dollars de la Concorde et de la Rue de Rivoli désertes, une réplique et une interprétation sobre et correcte de la part des deux acteurs.
Mais alors les flottements dans la mise en scene et surtout l'histoire d'une niaiserie stratosphérique, je suis désolé, j'achete pas. Surtout que C qd meme super interminable pour un film d'1h30
Besson est bel et bien mort. Non pas que ca me chagrine particulierement, C juste que bon voilà quoi...
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Vu cet après-midi,
Paris est une ville magnifique, Rie Rasmussen une bien jolie jeune femme et Jamel Debbouze un excellent comédien... Mais ajoutez-y un Besson en manque d'idées, de souffle et surtout d'un scenar' consistant, vous aurez un film d'une platitude affligeante. Angel-A n'est pas un mauvais film mais après sept ans d'absence derrière la caméra, j'attendais un peu plus de Luc Besson bien que je ne sois pourtant pas fan de ses films en général, excepté Subway ou Le Grand Bleu. Le tournage d'Angel-A s'est effectué cet été à Paris, rien n'a filtré pendant des mois jusqu'à l'apparition de la bande-annonce début décembre. Beaucoup de secrets pour pas grand chose en fait... Un homme qui traine sa misère, un ange qui tente de le sauver et se prend d'affection pour lui, ça rappele quelque peu Les ailes du désir de Wim Wenders ou encore La cité des anges de Brad Silberling.
Problème pour Angel-A, si le noir et blanc donne une touche Doisneau très plaisante au film, la beauté de ce choix ne sauve pas le reste : les dialogues sont assez pauvres et la morale qu'on voit arriver à des kilomètres est quelque peu niaise. Besson nous offre tout de même quelques jolis plans de caméra mais on se souviendra surtout du duo Jamel - Rie Rasmussen... Le petit mal rasé et la grande blonde filiforme à la plastique irréprochable sont véritablement les principaux atouts d'un film un peu longuet.
Paris est une ville magnifique, Rie Rasmussen une bien jolie jeune femme et Jamel Debbouze un excellent comédien... Mais ajoutez-y un Besson en manque d'idées, de souffle et surtout d'un scenar' consistant, vous aurez un film d'une platitude affligeante. Angel-A n'est pas un mauvais film mais après sept ans d'absence derrière la caméra, j'attendais un peu plus de Luc Besson bien que je ne sois pourtant pas fan de ses films en général, excepté Subway ou Le Grand Bleu. Le tournage d'Angel-A s'est effectué cet été à Paris, rien n'a filtré pendant des mois jusqu'à l'apparition de la bande-annonce début décembre. Beaucoup de secrets pour pas grand chose en fait... Un homme qui traine sa misère, un ange qui tente de le sauver et se prend d'affection pour lui, ça rappele quelque peu Les ailes du désir de Wim Wenders ou encore La cité des anges de Brad Silberling.
Problème pour Angel-A, si le noir et blanc donne une touche Doisneau très plaisante au film, la beauté de ce choix ne sauve pas le reste : les dialogues sont assez pauvres et la morale qu'on voit arriver à des kilomètres est quelque peu niaise. Besson nous offre tout de même quelques jolis plans de caméra mais on se souviendra surtout du duo Jamel - Rie Rasmussen... Le petit mal rasé et la grande blonde filiforme à la plastique irréprochable sont véritablement les principaux atouts d'un film un peu longuet.