Bienvenue au cottage (Paul Andrew Williams - 2008)

[dino VELVET]

Deux frères font capoter le kidnapping d'une jeune fille organisé par un gangster, et se retrouvent avec un terrible secret sur les bras. Les ennuis ne font que commencer lorsqu'ils croisent sur leur chemin un fermier psychopathe...

C'est sorti aujourd'hui.

Les échos sont globalement positifs.

Le film semble jouer avec les codes du genre, mais sans mépris aucun (c'est pas Scream ou Scary movie quoi ...).

M'a l'air bien sympathique tout ça, j'irai ce week-end.

Et chapeau-bas au distributeur français pour ce titre à peine opportuniste (le métrage s'appelle The cottage en VO) ... bienvenue chez les cons

[creepers]

Le papier dans Mad m'avait donné envie et c'est vrai que les avis sont pas mauvais donc pourquoi pas !

[dino VELVET]

Vu ce matin.

Une série B hybride fort divertissante mais qui ne restera pas dans les annales pour autant.

On est loin d'un Shaun of the dead, et même d'un Severance.

Le mélange des genres (nombreux) prend bien, mais le film s'avère un peu bordélique.

Souvent l'impression de voir un scénario de série Z développé au sein d'une production bien plus fortunée.

Quelques moments de franche rigolade (dont cette mémorable punchline : "J'ai rencontré un fermier !") et du gros gore qui tache.

Pour résumer : je me suis bien amusé, mais je chopperai sûrement pas en DVD.

[creepers]

Le film est sympa mais ne restera pas dans les mémoires. C'est assez drôle par moment, Andy Serkis est très bien mais la mise en scène est plate et la seconde partie malgré ses débordements gores bienvenues reste vraiment trop banale pour nous exciter plus que la moyenne des films du genre. A noter comme souvent dans les films anglais du genre une scène avec un piège à loup...

Sympathique.

[BouBout]

J'ai franchement bien aimé, surtout le coté "bordélique" de la mise en scène.
C'est vrai qu'à la fin ça devient quand même n'importe quoi. Allez, 10 min de trop.
Toute la première partie (l'enlèvement) est à pisser de rire. Et puis sans trop savoir comment, on bascule dans le gore...
Et coup de coeur à la "nana enlevée" : c'est un sacré numéro !


Mais pourquoi il n'a eu droit qu'à 2 salles à Paris ???