heu...Colonel Kurtz a écrit : -quand Balthazar Getty rentre chez lui dans Mulholland Drive ..

balthazar joue dans Lost Highway (10/10 pour moi le meilleur Lynch qui plus est mon real préféré)
Modérateur : dino VELVET
Je crois que le film entier est un moment fort de Cinema... le speech d' O'Blivion, la fin de Convex...cinestef a écrit :salut,
je commencerai par un moment trés fort pour moi:
-dans Vidéodrome, le moment ou les hallucinations deviennent vraiment tangibles. C'est à dire lors que Max Renn (James Woods) recçoit sa première K7 de Vidéodrome et qu'il s'aperçoit que celle çi est vivante, puis lorsque sa télévision devient le corps de son amante, Nicki Brand (Debborah Harry) et on aperçoit des teminaisons nerveuses dessus. Il finit ensuite par mettre directement sa tête dans l'écran de télévision qui s'est transformé en une vision fantasmée de la bouche sensuelle de Nicki.
Ce moment est pour l'instant le plus fort de ma vie de cinéphileet mon souvenir de cette scène remonte à 1987 mais est tjs aussi présent pour moi. Il est la forme ultime de métaphore visuelle, figure de style primordiale du cinéma de David Cronenberg, qu'il est le seul à manier avec autant d'aisance.
Stef
Je l' ai sur mon etagére depuis 3 mois j' ai pas encore pris le temps de regarder mais vous donnez vachement envie laThe DeathScythe a écrit :Je crois que le film entier est un moment fort de Cinema... le speech d' O'Blivion, la fin de Convex...cinestef a écrit :salut,
je commencerai par un moment trés fort pour moi:
-dans Vidéodrome, le moment ou les hallucinations deviennent vraiment tangibles. C'est à dire lors que Max Renn (James Woods) recçoit sa première K7 de Vidéodrome et qu'il s'aperçoit que celle çi est vivante, puis lorsque sa télévision devient le corps de son amante, Nicki Brand (Debborah Harry) et on aperçoit des teminaisons nerveuses dessus. Il finit ensuite par mettre directement sa tête dans l'écran de télévision qui s'est transformé en une vision fantasmée de la bouche sensuelle de Nicki.
Ce moment est pour l'instant le plus fort de ma vie de cinéphileet mon souvenir de cette scène remonte à 1987 mais est tjs aussi présent pour moi. Il est la forme ultime de métaphore visuelle, figure de style primordiale du cinéma de David Cronenberg, qu'il est le seul à manier avec autant d'aisance.
Stef![]()
difficile à croire de nos jours que ce film se soit fait autant demonter à sa sortie... comme d'habitude on a crié au fou, au fasciste etc...