qu'allez vous regarder aujourd'hui ????

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en version longue pour les deux
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creepers
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Je viens de matter ça :

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Rob-Zombie
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Message par Rob-Zombie »

Maté aujourd'hui :arrow:

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"RIPPER" de John E. Eyres

Unique survivante du massacre de jeunes étudiants sur une île isolée, Molly Keller ( A.J. Cook : "WISHMASTER 3" puisque vous avez l'air d'apprécier la série :twisted: ) suit, cinq ans plus tard, les cours en criminoligie et profilage de l'ancien agent du FBI Marshall Kane ( Bruce Payne : "DONJONS & DRAGONS" ) devenu professeur es-serial killers en Colombie Britannique.
Etudiante rebelle, Molly préfère taire son horrible secret de survivante et rester isolée du reste de son groupe de TP...

Pourtant les évènements ( des meurtres calqués sur ceux du Jack, l'Eventreur ( ripper du titre - en VO "RIPPER : LETTER FROM HELL" ) de Whitechapel en 1888 ) vont l'obliger à se dévoiler au fur et à mesure à ses camarades de classe si elle ne veut pas les voir mourir les uns après les autres... sous les coups de couteaux d'un tueur mystérieux !!!

Que les choses soient claires, n'espérez pas voir une version moderne d'un
"FROM HELL" assaisonné à la sauce slasher post-"SCREAM" :lol: :lol: :lol:
La référence au célèbre et mystérieux Jack ( que le prof jure pourtant avoir découvert ) ne va se faire qu'à travers les noms de ses cinq pauvres et tristement célèbres victimes et leur ordre de disparitions sanglantes et anthologiques. N'escomptez même pas entrevoir l'éclat d'un scalpel d'argent, sauf si un couteau de cuisine semblable à celui de Mike Meyers sert de scalpel dans une clinique de Colombie Britannique.
L'intrigue générale de ce slasher pseudo cérébral balancée dès les premières minutes, il ne vous reste plus qu'à attendre de savoir de quelle manière notre tueur va donc éliminer ces potites victimes - le pourquoi ayant si peu d'intérêt :? :? :?
Une scène de baise rapide étant esquissée lors de l'honorable reconstitution d'une soirée gothique au douzième étage d'un immeuble, seul ce premier meurtre la suivant méritera que l'on s'attarde sur ce film qui réunit poussifs et poncifs d'un genre qu'une série trop massive de slashers pour ados à tuer au lieu de ressusciter comme escompté en 1996. Les mises à mort suivantes étant plus esquivées qu'esquissées, pour ne rien montrer à l'écran ( les victimes étant déjà moins bandante et plus évidentes :twisted: ).
Alors que les minutes passent et que le scénario essaye de nous enmêler sur l'éventuel assassin parmi tout le monde ( le prof ? le flic ? l'élève qui connait le secret de Molly ? son prétendant ? ), l'héroïne passe inévitablement de l'étudiante rebelle au caractère trempé comme l'acier à celui de future victime fragile en se laissant aller dans les bras de no spoiler here et préférant des cheveux propres et coiffés à sa coupe nanarde "hérissée" de spikes des plus d(r)eads. Le mythe biblique de Samson viendrait-il concurrencer ces réfèrences à la première légende urbaine que fut Jack, the Ripper ? :wink:

Vous vous en douterez, vous vous demanderez comment j'ai pu regarder un tel film américano-canadien sentant bon les regrettés "Hollywood Night" du samedi soir sur la une ? Par chapitres ( très mal montés sur le dividi, squeezant carrément la scène d'intro !! ) entre deux sommeils :twisted: :twisted: :twisted:

Film réunissant A.J. Cook, Bruce Payne mais aussi Jürgen Prochnow ( "GUNBLAST VODKA" ) et une frenchie Claire Keim ( "FÉROCE" ) - qu'une autre actrice double en VF !!! - "RIPPER" de John E. Eyres ( "OCTOPUS", notule lunaire de Mad avec une pieuvre géante dedans ) vaudra peut-être la peine d'être sauvé pour sa bande-originale fort nu-metal, composée quasi-entièrement par Smudged Ink pour ne pas dire David Steele, membre du groupe précédent :wink:

"RIPPER ( RIPPER : LETTER FROM HELL )" : 2/6 parce que bien que neo la musique a réussi à me tenir éveiller par moments et surtout pour la soirée "gothico-metallik" de l'entrepôt :wink:

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"LE VÉLO DE GHISLAIN LAMBERT" de Philippe Harel

Bien que ce film soit une histoire belge comme en aurait raffolé l'aut' de Michel Collucci pour ne pas le nommer, ces mésaventures d'un looser ont un arrière goût exotique pour ne pas dire plus avec ce ton résolument doux-amer qui qualifie une partie ( la plus personnelle ? ) de la filmographie de Benoit Poelvoorde, éternel héros de la rigolade tragique :lol: :lol: :lol:

Passionné de la petite reine, Ghislain Lambert ( Ben ) ferait tout pour faire passer son cycle avant le reste.
Et c'est ce qu'il fait, alignant les kilomètres pour aller se regarder le bout de la quéquette sur le bord d'une piscine municipal où il serait maître-nageur. Kilomètres qui lui valent d'être repéré et engager par M. Focodel ( un Daniel Cecaldi de retour en grande forme ! ) pour intégrer son équipe de cyclistes amateurs.
Et de rayons en seringues, voici Ghislain, celui qui rêve d'inscrire son nom au panthéon des grands rois de la route au coté de Merckx, entrainé dans un univers dont il ne comprendra pas tout et qui le menèra de défaites en défaites à devenir une célébrité... sommée de rester un looser alors que son heure semble venue :? :twisted: :twisted:

S'il y a bien un rayon, en dehors du vélo, dans lequel Benoit Poelvoorde culmine, c'est lorsqu'il joue un Belge - comme dans "C'EST ARRIVÉ PRÈS DE CHEZ VOUS", le film qui nous le révéla ( ainsi que sa maman, Jaqueline Pappaert, de retour dans son rôle maternel ), et où il est touchant de crédibilité], lorsque la misère et la pauvreté sonnent à sa porte comme dans "LES CONVOYEURS ATTENDENT".
Fort de ces deux bagages prouvant la carrure olympique de ce champion du rire froid, détaché et cruel ( parfois ) mais si bon, Benoit Poelvoorde va faire d'un éternel dernier, enchainant métier sur métier ( parmi lesquels un VRP ( me ) rappellant étrangement celui de "LES PORTES DE LA GLOIRE" :wink: ), un champion méconnu du Tour de France et de tous ces critériums cyclistes inconnus des néophytes : une lanterne rouge à laquelle on ne peut que s'accrocher et s'éprendre de sentiments ( profonds ) qu'il soit bon et naïf comme con et de mauvaise foi.
Un rôle comme les affectionne tant ce grand acteur, au faciès déjà si drolatique que sa carrure de crevette au bronzage de cycliste du dimanche ne peut qu'accentuer ( à en mourir de rire ), dans le meilleur de sa filmographie ainsi exposée...
Son partenaire récurrent de José Garcia ( "LE BOULET", "RIRE ET CHATIMENT" ) ajoutant aux sourires - sous cape - dans la peau de ce frère impulsif et escroc, aux moustaches si seventies, qui va prendre la carrière désastreuse de ce frère éternel rêveur :lol: :lol: :lol:

Partant tel un de ces documenteurs auquel "C'EST ARRIVÉ..." a donné naissance, ce film de Philippe Harel, qui des RANDONNEURS" déjà avec Benoit Poelvoorde à "EXTENSION DU DOMAINE DE LA LUTTE" avec José Garcia, signe une brillante comédie attachante empreint d'un tel réalisme qu'elle en rend hommage à tous ces cyclistes du dimanche ( parmi lesquels Antoine de Caunes, la voix-off, genre "AMÉLIE POULAIN" :wink: ) et autres coureurs amateurs que l'on ne re-connaîtra peut-être jamais mais que l'on a du voir passer devant nous, une fois, petit en vacances chez sa grand-mère de Plouay ou ailleurs...
Consacrée au monde du deux roues et des guiboles, "LE VÉLO" pourrait aussi bien parler de ces champions de boxe étalés tous les week-end sur les rings de leur club ou de ces Platini en herbes des années 80 qui aujourd'hui commente amèrement le jeu de jambes d'un Zidane : pensons à tous ces amateurs aux rêves brisés et rions un coup... avant d'en avoir un petit pincement au coeur :x :? :?

Aparté : mais comment celui qui a réalisé un tel mellow a-t'il pu se laisser prendre dans "TRISTAN", son film suivant ? 8O 8O :lol:

"LE VÉLO DE GHISLAIN LAMBERT" : 4,5/6
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wang85
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Message par wang85 »

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Rob-Zombie
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Message par Rob-Zombie »

Réveillé ce matin avec :arrow:

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"NOT ANOTHER TEEN MOVIE" de Joel Gallen que des distributeurs français ont trouvé bon, hélàs, de re-titrer "SEX ACADEMY" de ce coté-ci de l'Atlantique en espérant surfer sur le succès du récent teen-movie "AMERICAN PIE" - comme si les adolescents d'aujourd'hui n'allaient voir que des films au titre composé uniquement de deux mots - sans se souvenir de l'échec du français "SEXY BOYS" ( vous me direz c'est français ).

Sa sortie coulée par un très mauvais titre peu évocateur ( et faisant irrémediablement pensé aux bastarc' academy de la Une ) et une promotion peu suivie et assumée de ce coté-ci de l'humour pipi-caca-adulescente, ce premier long-métrage de Joel Gallen, réalisateur de pastiches lors des Oscars n'héritera donc jamais du succès escompté :evil:

Car plus qu'un autre film pour adolescents débiles, comme son titre américain ( "TEEN MOVIE" lors du premier script ) l'indique et le décrie ( dans les deux sens ), "NOT ANOTHER TEEN MOVIE" est aux comédies adolescentes de ces dix dernières années ce que "SCARY MOVIE" a été aux néo-slashers qui ont suivi le succès de "SCREAM" : une excellente pilule de bonne humeur et de remerciements :twisted: :twisted: :twisted:
Parodie des récents teen-movies que la trilogie d'"AMERICAN PIE" symbolise plus que tout, cette comédie parodique ( donc ) s'inscrit beaucoup plus sur l'hommage aux films pour adolescents ( comme on disait à l'époque ) des eighties telle que la filmographie de John Hughes ( "FERRIS BUELLER", "SIXTEEN CANDLE", "BREAKFAST CLUB" ) et autres "PORKIES" et cie en reprenant la trame du "ELLE EST TROP BIEN ( SHE'S ALL THAT )" ( 1999 ) de Robert Iscove et dont Freddie Prinze Jr. ( "SCOOBY-DOO" ) et Rachael Leigh Cook ( "ANTITRUST" ) interprétaient les protagonistes - plus copiés et reproduits fidélèment que plagiés par, respectivement, Chris Evans ( "THE PAPER BOY" ) et Chyler Leigh ( "The Practice" ), le beau gosse riche et la pauvre fille faussement laide mais en fait si jolie :wink:

Parce que sa pom-pom girl de petite amie l'a plaqué en vue du bal de fin d'année, Jake Wyler ( CH. Evans ) tient le pari avec ses amis de transformer la fille la plus laide de leur lycée John Hughes High School en reine de fin d'année : la rebelle et artiste Janey Briggs ( Ch. Leigh ) étant alors désignée... plutôt que cette bossue ou cette hippie albinos ou même ces soeurs siamoises ( liées par le crâne ) :lol:

Le ton donné et certaines moeurs cinématographiques étant respectées ( on ne va pas choisir une vraie moche, non plus ), Joel Gallen peut alors laisser libre court à son esprit créatif et artistique et s'attaquer ici et là à "CRUEL INTENTIONS" ( à travers le personnage de la salope de soeur interprétée par la bomb-ass Mia Kirshner : "THE CROW 2" ) et autres "VARSITY BLUES", lors de plusieurs scènes ou dans la galerie de personnages et allusions. Les inédits, comme HARDLY CAN'T WAIT", se disputant la connerie avec des "10 BONNES RAISONS DE TE LARGUER " 10 THING I HATE ABOUT YOU )" et autres titres plus récents.
Mais l'équipe de scénaristes et le réalisateur n'ont pas non plus oublié les merdeux qu'ils ont pu être et truffent leur film de références et clisn d'oeils à l'Histoire des teen-movies des années 80 : un poster dans une chambre de branleuse, le nom de la cantine, un décor de tournage identique, etc. Sans oublier un caméo mémorable pour ceux qui se sont éclatés sur ces films d'antan :lol:

Et bien que ce film ait été pour le jeune public d'aujourd'hui gorgé d'humour scatophile ( cf. la critique du prof d'anglais sur cet humour là... ), certains détails que ceux-ci pourraient ne pas avoir capté, faute de culture cinématographique dépassant 1994, font que les ados débiles d'hier peuvent le visionner un brin nostalgique et rêvant encore de grandes fêtes à la maison - comme dans "RICKY BUSINESS" ou/et "UNE CRÉATURE DE RÊVE ( WEIRD SCIENCE )".
Pourtant le courant n'est pas passé. Le public d'aujourd'hui préférant voir Stifler prêt à tripoter le cul de n'importe qui pour un touche-pipi avec deux lesbiennes. Les vieux d'hier n'y voyant qu'une enième repompée des films à deux balles d'aujourd'hui signée MTV :? :? :?

Galerie de portraits archétypes et caricaturés ( que certains reprennent même d'un film à l'autre ) mais assumés comme l'affiche clairement l'affiche, justement, "NOT ANOTHER TEEN MOVIE" aura été un coup d'épée dans l'eau vaseuse et croupie des comédies actuelles.
L'accumulation de détails et autres sous-entendus historiques au genre ne passant peut-être pas dans l'esprit et la culture cinématographiqe du public d'aujourd'hui... sans l'aide de ces forts agréables teen-movie factoïdes ( souvenez-vous de l'émission de M6 "Des Clips et des Bulles" :wink: ) qui viennent ponctuer le dividi... cette référence culturelle, donc, constante mais loupée ( par le public ) ayant peut-être été l'élément de trop qui aura fait que le bouche à oreille des premiers spectateurs ait desservi ce film, le condamnant à une exploitation vidéo auprès des plus curieux ou nostalgiks des plans de nudité féminine complètement gratuite et d'une bande-son radicalement orientée eighties ( bien que reprise par des groupes djeunz du rock d'aujourd'hui ) :evil: :evil: :evil:

Il est regrettable de constater comment le public d'aujourd'hui ne cherche plus qu'à rire du malheur des autres ou tripper avec l'usage de drogues dans une fusion de violence et de pornographie ( on dirait un vieux critik des "Cahiers", argh !!! ) quand un film comme celui-ci ne fait que vous divertir et vous amuser, sans aucune drogue ou violence, avec des scènes de nudités rappellant les vestiaires de "UNE CRÉATURE DE RÊVE ( WEIRD SCIENCE )" et tant d'autres bons souvenirs d'un cinéma de pôpa d'hier. En dehors de la place du keubla de service, ne cherchez aucun autre message ( plus ) politique dans ce film par contre :wink:

Mais faites-vous donc plaisir et re-visitez donc ces standards du film lycéen que vous adoriez sur ces mêmes bancs scolaires :twisted: :twisted: :twisted:
Tout en pouvant vous moquer, pour une fois, du cinéma mongol de votre petit frère ( ou petit cousin ) :lol: :lol: :lol:
:arrow: Zioter un oeil à ce "SEX ACADEMY ( NOT ANOTHER TEEN MOVIE )" et revenez en dire ce que vous en pensez, si le coeur vous en dit...

"NOT ANOTHER TEEN MOVIE" : 5/6, car je suis resté un grand branleur nostalgik de ces lycées où j'ai toujours rêvé de mettre les pieds ( celui du film a servi de décor à "Buffy contre les Vampires", la série, et "Beverly Hills" ) sans pouvoir y aller... Et puis ça met le sourire aux lêvres de bon matin :twisted: :twisted: :twisted:
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Qu'est ce que j'ai pu me faire chier au cinoche devant cette sombre merde moi !!!!! Sex académie :beurk: ! Même ma copine qui est pourtant trés bon publique c'est endormie devant ce truc !
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wang85
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Message par wang85 »

Plutôt fun ce sex academy pour ma part, je serais de l'avis de Rob sur ce coup-là :wink:
Bon ce soir suite aux conseils de Nico
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right hand of doom
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Message par right hand of doom »

creepers a écrit :Qu'est ce que j'ai pu me faire chier au cinoche devant cette sombre merde moi !!!!! Sex académie :beurk: ! Même ma copine qui est pourtant trés bon publique c'est endormie devant ce truc !
C'est pourtant une des meilleures parodies récentes.
Je suis tombé dessus par hasard et j'ai été agréablement surpris car je m'attendais à un sous-American pie.
En fait il est largement supérieur à son pseudo-modèle.
En plus la BO est plutôt bonne avec ses reprises de tubes eighties par des groupes du moment.
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creepers
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Message par creepers »

right hand of doom a écrit :
creepers a écrit :Qu'est ce que j'ai pu me faire chier au cinoche devant cette sombre merde moi !!!!! Sex académie :beurk: ! Même ma copine qui est pourtant trés bon publique c'est endormie devant ce truc !
C'est pourtant une des meilleures parodies récentes.
Je suis tombé dessus par hasard et j'ai été agréablement surpris car je m'attendais à un sous-American pie.
En fait il est largement supérieur à son pseudo-modèle.
En plus la BO est plutôt bonne avec ses reprises de tubes eighties par des groupes du moment.
Pouir moi ce n'est pas du tout passé ! Je trouve déjà l'idée de parodier des comédie un peu débile (oui à la base la comédie est drôle) et les gag vraiment naze mais bon peut être qu'une deuxième vision... :wink:
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Rob-Zombie
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Message par Rob-Zombie »

wang85 a écrit :Plutôt fun ce sex academy pour ma part, je serais de l'avis de Rob sur ce coup-là :wink:
Right a écrit :C'est pourtant une des meilleures parodies récentes.
Je suis tombé dessus par hasard et j'ai été agréablement surpris car je m'attendais à un sous-American pie.
En fait il est largement supérieur à son pseudo-modèle.
En plus la BO est plutôt bonne avec ses reprises de tubes eighties par des groupes du moment.
Merci. Ca fait plaisir de se savoir compris, parfois.

En attendant ce midi, je me suis visionné :arrow:

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"HALLOWEEN RESURRECTION" de Rick Rosenthal

Alors que les choses soient claires avec ce huitième chapitre de la saga du tueur au masque du Captain Kirk, Mike Meyers, la saga se termine pour commencer un nouvel arc-story comme diraient les professionnels de la profession.
Car deux films tiennent dans un seul film, qui se veut branché et moderne en rebondissant sur le succès des émissions de téléréalité, tel "Big Brother ( le Loft US )" et d'autres références...

L'introduction de ce nouveau film opposant Lorie Strode ( Jamie Lee Curtis, l'une des scream-queen des slashers, mère de toutes les Sidney Prescott de "SCREAM" ) à son frère Michael Meyers ( Brad Loree, toujours aussi monolithik ) sera le dernier chapitre de cette série de meurtres fraticides et conclusion du septième et précédent film.
Traumatisée par le final de "HALLOWEEN 20 ANS PLUS TARD" ( une cabriole scénaristique des plus hollywoodiennes pour expliquer la résurrection de notre boogeyman préféré ), Lorie vit coupée du monde dans un hopital psychiatrique, dans l'attente d'un duel final digne de "HIGHLANDER"... mais dont le seul survivant est évidemment désigné d'avance :cry:

Générique :twisted: :twisted: :twisted:

La toute-puissance du serial killer au couteau de cuisine ayant été prouvée en sept épisodes et demi, les scénaristes peuvent maintenant s'éclater et faire de face de raie ce qu'ils veulent. Ou presque. Quitte à le faire participer à une émission de real-TV sur le oueb :wink:

Producteur vénal et surfant sur la vague des reality-shows, Freddie Harris ( Busta Rythmes ) imagine re-créer une ambiance huis clos à la "BLAIR WITCH" des plus terrifiantes en proposant à six personnes de passer une nuit entière, la nuit d'Halloween, dans la maison d'enfance... de Michael Meyers lui-même :!: :!: :!: Là où tout a commencé par le meurtre de sa famille...
Imaginant le célèbre assassin local mort décapité, les six candidats acceptent de se livrer au jeu des 25 caméras installées ici et là et qu'ils transportent : imaginant déjà les conséquences sur leur notoriété de cette participation. Mais les choses ne sont pas toujours celles qu'on s'imagine :twisted: :twisted: :twisted:

Libéré de sa sanglante recherche d'un Graal fraternel, Mickey semble vouloir désirer profiter paisiblement de sa maison familiale, malgré l'état de délabrement avancée de l'architecture, que ces individus sont venus défigurer de leur décoration et autres surprises sensationnelles :evil:
Ils veulent de la sensation. Ils s'attendent à des surprises. Michael Meyers va leur en donner :twisted: :twisted: :twisted:

Usant et abusant des effets visuels de la caméra numérique passée au mixeur avec l'image d'une caméra plus classiques sur la table de montage, cette séquelle vise à critiquer les émissions actuelles du paysage audiovisuel international des divertissements en gardant les règles d'un "Loft" ( auquel il est fait référence, brièvement ) dans une intrigue d'un slasher classique teinté de "BLAIR WITCH", donc : qui sera le suivant à mourir restant, en fait, l'éternelle question de cette série :wink: Le theme générique de Danny Klux venant hélàs trahir les quelques effets de surprise possibles :? :? :?

Les morts se suivent, heureusement, sans se ressembler, mais, hélàs, ayant délaissé les effets gore d'antan où le couteau tranchait dans le vif, accompagné d'effets sonores nous rendant hilares et aussi enthousiasmés que ces adolescents assistant au massacre en direct sans croire à la vérité des choses. Pourtant, Freddie avait prévenu que tout ce que vous allez voir est vrai - autant que le documenteur de "BLAIR WITCH" ( décidemment ) :lol:
Placé dans l'éternel rôle du voyeur, le spectateur connaîtra soit les aboutissants du show avec ces sempiternels codes et réponses physiques des victimes ( cris, peur, envie de fuir, défense ), soit se prendra au jeu en réagissant aux évènements et espérant influer sur le cours des choses par ses commentaires et injonctions aux perosnnages - que ces adolescents traduisent encore une fois ( nous replongeant dans notre jeune âge de vidéophages ) :wink:

Nouveau venu au genre ou vieil ami de la famille, une chose est sûre : la saga "Mike Meyers" est terminée, Michael en restant l'unique survivant et ouvrant la saga "Halloween" ( qui ) ne fait que commencer, vu que Mickey est immortel et libre maintenant de s'attaquer à qui il veut :!: :!: :!:
Ou les scénaristes arriveront bien à trouver une nouvelle cabriole ( que la fin facilite grandement, comparée à certaines en supplément du DVD )

"HALLOWEEN RESURRECTION : 3/6

Et j'aurais fini ma journée avec :arrow:

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"JASON VA EN ENFER" d'Adam Marcus

Direct-to-video aux allures de téléfilm bon pour des "jeudi de l'angoisse" sur M6, ce neuvième épisode de 1993 s'éloigne complètement de la série de meurtres cinématographiques du plus défoncé des boogeymen US 8O 8O :x

Piégé par les forces spéciales de la police fédérale , le tueur de Lake Placid est envoyé ad patres en petits morceaux 8O
Ca commence mal pour faire tout un film sur l'un des tueurs mythiques du panthéon horrifique :?

Mais, sans aucun doute, bourrés à la coke jusqu'à la pointe de leurs stylos, les scénaristes - parmi lesquels le réalisat(u)eur Adam Marcus - arrivent à convaincre le réalisateur du tout premier "VENDREDI 13", Sean S. Cunnigham de produire cet épisode où la trame fait de Jason Voorhees une incarnation maléfique absolue que rien ne peut détruire... tant que son coeur n'a pas été détruit ( par un(e) Voorhees ) :lol: :lol: :lol:

Tueur en masse, effectivement, increvable et revenant sans cesse de l'autre monde, Jason Voorhees ( Kane Hodder sous le célèbre masque de hockey dans cinq épisodes ) n'existe peut-être plus physiquement mais l'esprit du mal et ce coeur noir ( référencé dans l'un des titres en VO :wink: ) qu'il est va continuer de semer la mort autour de lui, passant de corps en corps tel le ver extraterreste de "HIDDEN". Sauf que là, c'est une entité maléfique des forces obscures :wink:
Une nouvelle mythologie tenant ici d'expliquer ( ce qui aurait du reste inexpliqué :evil: ) les origines de la puissance mortelle du bébé à sa môman, en s'éloignant de la légende assassine du lac local : "né Voorhess, mort en Voorhess, il ne pourra revenir que grâce à un Voorhees ou mourir de la main d'un Voorhees, son coeur transpercé :arrow: Jason s'en allant rechercher sa soeur et sa nièce dans l'espoir de pouvoir ressusciter son gigantesque corps indestructible que les flics ont explosé. Et si elles ne veulent pas, il les tuera alors !

Scénario alambiqué piochant ici et là dans les séries B et autres nanars son intrigue, "JASON VA EN ENFER" a bien eu raison de ne pas s'intituler, en France, "VENDREDI 13, ÉPISODE 9 : LE COEUR SOMBRE DE JASON" afin de faire oublier cet écart à la saga de Lake Placid.
Bien que respectant le traditionnel double meurtre pronant plus l'abstinence sexuelle ( avant le mariage ) que la prévention des maladies sexuellement transmissibles, ce film reste tout de même une sombre bouse ( qu'un doublage canadien pour VF ne sauve pas, non plus. Désolé ) qu'un générique de début trop long et vite gonflant gâche, déjà, dès les premières minutes et dont les effets spéciaux travaillés sous photoshop ne parviennent pas à sauver l'interprétation boiteuse d'une poignée de comédiens ( dont Kane Hodder a sans doute voulu se démarquer en cédant la peau de ce gros bébé de Jason ) dans un minimum de décors :lol: :lol: :lol:

Seul le final pourra ( et aura ) laisser un sourire jusqu'aux oreilles aux spectateurs ayant vu cette séquelle fait par des bras cassés pour des bas du front : fans, s'abstenir !!!

"JASON VA EN ENFER" : 0,5/6
car je ne peux pas mettre zéro à un film ( sauf l'un de ceux de Catherine Breillat :twisted: ).
Et pourtant, je suis connu pour aimer le cinéma et tout LE cinéma...
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