
Qu'écoutez vous au moment où...
Modérateur : dino VELVET
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Y a pas de souciHarry Hausen a écrit :On se fera une petite séance MSN ?Rockatansky a écrit :Le dernier (prochain) albumPowered_by_HK a écrit : was is das ?

Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
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Kings Of Leon - Youth & Young Manhood.
J'adoreFormé autour des tournées de leur père, prêcheur, tandis que les fistons accompagnaient les sermons en musique ; Kings of Leon (Léon, du prénom que portaient les pères et grands-pères du clan Followill pour éclaircir complètement toute confusion) est un groupe simple à la trajectoire pourtant définitivement atypique. Trimbalés de bled en bled entre Oklahoma City et Memphis, les jeunes Followill étaient la plupart du temps sur les routes et scolarisés à domicile, et ont donc fait leurs premiers pas musicaux dans les églises...
Entretemps, les gospels de dévotion seront juste devenus de purs morceaux de rock'n roll.
La musique de Kings of Leon est faite d'émotions brutes et de rythmes implacables : un mélange rock-country-blue-garage, comme si les Strokes dévalisaient l'héritage de Creedence Clearwater Revival et de Lynyrd Skynyrd réunis.
Outre-Manche, leur premier album fait figure de phénomène : entré directement N°5 des charts, il truste depuis le top3 des ventes d'albums. Les médias anglais ne tarissent plus d'éloges sur le combo sudiste, on parle tout simplement de “Youth and Young Manhood“ comme le meilleur premier album rock de la décennie.

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YabonBaNDiNi a écrit :![]()
Kings Of Leon - Youth & Young Manhood.
J'adoreFormé autour des tournées de leur père, prêcheur, tandis que les fistons accompagnaient les sermons en musique ; Kings of Leon (Léon, du prénom que portaient les pères et grands-pères du clan Followill pour éclaircir complètement toute confusion) est un groupe simple à la trajectoire pourtant définitivement atypique. Trimbalés de bled en bled entre Oklahoma City et Memphis, les jeunes Followill étaient la plupart du temps sur les routes et scolarisés à domicile, et ont donc fait leurs premiers pas musicaux dans les églises...
Entretemps, les gospels de dévotion seront juste devenus de purs morceaux de rock'n roll.
La musique de Kings of Leon est faite d'émotions brutes et de rythmes implacables : un mélange rock-country-blue-garage, comme si les Strokes dévalisaient l'héritage de Creedence Clearwater Revival et de Lynyrd Skynyrd réunis.
Outre-Manche, leur premier album fait figure de phénomène : entré directement N°5 des charts, il truste depuis le top3 des ventes d'albums. Les médias anglais ne tarissent plus d'éloges sur le combo sudiste, on parle tout simplement de “Youth and Young Manhood“ comme le meilleur premier album rock de la décennie.
Dress To Depress

THE LIARS - They threw us all in trench and stuck a monument on top.
Ils vivent dans une espèce de mansarde, ensemble, à New York; Ils répètent dans un garage miteux, et boivent un bon paquet de Budweiser.
Eux – LIARS (menteurs) - ne se prennent pas aux sérieux. A la première écoute, c’est une gorgée profonde et rafraîchissante d’un punk rock un peu débile en apparence.
Leur anti-star attitude et une démarche contestataire sont mises en avant, avec une envie de se libérer d’un couvercle qui les opprime. Pas si original pour un groupe de punk…mais les moyens mis en œuvre pour se libérer sont énormes.
Ce premier album rappelle les délires punks des Beastie Boys sur Some old Bullshit, avec un son encore plus dépouillé, encore plus sec, avec une certaine cradeur et du cran. LIARS enregistre des titres d’un instant, faits dans la spontanéité.
Les morceaux sont relativement courts, la guitare est lourde, la basse aussi. Voix et claviers sont tordus, distordus. ‘This dust makes that mud’ est un titre épique, héroïque, le récit final d’une jouissance quotidienne et de la routine, traversé par une terrible boucle de riffs de guitares. Un résumé de tous les autres titres, jubilatoires, troublants, dérangeants.
La voix chante faux ou reste décalé rythmiquement, ce qui rappelle curieusement les premiers disques de Sonic Youth. Mais derrière ce faux non savoir, incroyable, il y a du génie. Can you hear us ?! qu’ils disaient au début de leur disque ; les LIARS…ou comment signer le meilleur album punk depuis le début du revival.
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