Dans un monde où des super-héros sillonnent le ciel ou rôdent dans la nuit, quelqu'un doit faire en sorte qu'ils ne dépassent pas les bornes. Et ça, c'est le boulot de Billy Butcher, du P'tit Hughie, de la Crème, du Français et de la Fille. Les P'tits Gars de la CIA, une équipe de gens dangereux. Ça tombe bien, puisqu'ils luttent contre la force la plus dangereuse de la Terre : les gugusses à super-pouvoirs. Certains super-héros doivent être surveillés. D'autres doivent être contrôlés. Et certains, parfois, doivent dégager. Et c'est là qu'interviennent nos P'tits Gars. Les G-Men, ces parias orphelins ayant grandi dans des quartiers difficiles sont les super-héros les plus lucratifs du monde. Mais quand Silver Kincaid, un membre des G-Men originels, se suicide en public, ce sont les P'tits Gars qui sont chargés d'enquêter.
Ennis parodie ici les X-Men avec moults effets gores et scatos. Nous sommes hélas trés loin de ses prestations sur Hellblazer ou Preacher ou l'outrance cotoyait l'emotion et la subtilité.
Je pense arrêter les frais.
A noter l'hommage surement volontaire au Roi Heenok par le traducteur.
Fin de parcours pour le duo Brubaker/Lark qui, malgré un passage à vide sur la fin, aura fait honneur à ses illustres predecesseurs.
Dernier volume interessant qui ouvre de nouvelles percpectives à Matt Murdock (qui perso ne m'enchantent pas trop, les histoires de ninja ne sont pas mes favorites chez DD)
L'épisode d'intro consacré au Caïd est formidable par contre