The DeathScythe a écrit :1: Oui Rutger Hauer est bien l'acteur present dans Hitcher et Blade Runner...
2:Aaaaaaahhhh les polemiques sur McTiernan le retour... c'est un real qui divise de plus en plus, pour moi son 13eme Guerrier est de la trempe de son Octobre Rouge ou de son Predator et ce dans sa version tronquée, donc je n'ose imaginer ce que pourrait donner son Director's cut (un film au niveau de ses Die Hard? )
en tout cas pour moi le bonhomme est ni mort ni enterre quoi qu'on en dise (je n'ai pas encore vu Rollerball mais je vais foncer voir Basic)
Mon jugement viens surtout du fait qu'un mec comme ça puisse nous donner un film si peu interressant, une trés grosse deception pour moi ... je n'aime ni les acteurs, ni la bande son, ni ... enfin je n'aime rien dns ce film à part les vikings
J'aime énormément les 2.
Mais le guerrier en dvd, et souhaite vivement avoir le second.
Pas de M6 pour moi je ne prend pas la chaine sur le sat, donc la qualité de réception ne convient que pour des émissions (M6 pour moi c'est un ou deux dimanches soir par mois, et absolument RIEN d'autre, même pas les séries).
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Bon là ja matte la chair et le sang.
Apparemment, toutes les scènes de boules y sont, mais le film est bien notifié -12
Par contre il est diffusé en plein écran et sent le recadrage à plein nez.
SamReVolt a écrit :j'ai raté le premier film au profit d'Arte.
Décevant Lumumba finalement
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Je parlais du film, g été géné par l'interprétation en général
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky