Terminator
Modérateur : dino VELVET
Terminator
Là, je suis en train de mater le chef d'oeuvre et je me dis que ca a très bien vieilli...
J'ai dit debout Soldat!!!
Bref que du pur bonheur...
Au passage, la chanson qui passe dans la discothèque quand schwarzy cherche Sarah est vraiment excellente !!!
J'ai dit debout Soldat!!!
Bref que du pur bonheur...
Au passage, la chanson qui passe dans la discothèque quand schwarzy cherche Sarah est vraiment excellente !!!
- The DeathScythe
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Et oui ! Incroyable de voir à quel point ce film de serie B auquel personne ne croyait au depart aie pu autant marquer les esprits.
La revelation d'un des Rois du cinema fantastique James Cameron ! Un scenario original pour l'epoque, des sfx efficaces, un Schwarzy impressionnant...
Au final un clasique indemodable de la S.F au meme titre que sa suite un peu plus grand public et friqué mais tout aussi excellente...
Autant dire que l'episode 3 Rise of the machines realisé par J. Mostow (U-571) est attendu au tournant (avec Lance Henriksen
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La revelation d'un des Rois du cinema fantastique James Cameron ! Un scenario original pour l'epoque, des sfx efficaces, un Schwarzy impressionnant...
Au final un clasique indemodable de la S.F au meme titre que sa suite un peu plus grand public et friqué mais tout aussi excellente...
Autant dire que l'episode 3 Rise of the machines realisé par J. Mostow (U-571) est attendu au tournant (avec Lance Henriksen

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La seule qui avais vraiment vieilli dans le film, c'était la première édition tf1 vidéo, à pleurer tellement l'image était fade et voilée, et le son étouffé.
Sinon c'est le summum de la sobriété, de l'efficacité et de la noirceur.
De nos jours rares sont les films sans concession à ce point.
Et quelle intelligence de Schw. d'avoir préféré le rôle du T à celui de l'humain, moins marquant et perenne. Ce qui montre que jouer le "méchant" n'enferme pas nécessairement dans une image définitivement.
Sinon c'est le summum de la sobriété, de l'efficacité et de la noirceur.
De nos jours rares sont les films sans concession à ce point.
Et quelle intelligence de Schw. d'avoir préféré le rôle du T à celui de l'humain, moins marquant et perenne. Ce qui montre que jouer le "méchant" n'enferme pas nécessairement dans une image définitivement.

